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24 octobre 2013 4 24 /10 /octobre /2013 12:11

 

Une remarque à suivre de près dans le magazine Le REVENU :

Le Conseil constitutionnel peut-il néanmoins invalider ce que le Parlement aura voté, en la matière ? 

 

Dans un récent entretien accordé au Revenu Hebdo, Daniel Gutmann, avocat associé au cabinet CMS Bureau Francis Lefebvre, reconnaissait que ces «clauses» dites de grand-père sont, certes, «particulièrement difficiles à gérer pour les assureurs : à chaque retrait de fonds, les compagnies doivent liquider les prélèvements sociaux à des taux différents, selon l'époque». Le fiscaliste doutait néanmoins de la constitutionnalité de cette «réforme» : «Jusqu'à présent, toutes les réformes fiscales de ce type ont toujours laissé subsister ce mécanisme qui consiste à n'asseoir les prélèvements qu'au taux du jour où les gains ont été produits par ce placement».


PEA, PEL: le taux unique de prélèvement accusé de détruire l'épargne

L'Expansion.com avec AFP - publié le 23/10/2013 à 19:34, mis à jour à 20:39

Les députés ont voté une augmentation du taux de prélèvements sociaux pour certains contrats d'assurance-vie, plans d'épargne en actions et plans d'épargne-logement. Une mesure rétroactive contre laquelle l'opposition proteste.


En savoir plus sur 

http://lexpansion.lexpress.fr/economie/pea-pel-assurance-vie-taux-unique-de-prelevements-sociaux-a-15-5_409282.html?xtor=EPR-3122-[xpn_11h]-20131024--523061@267689726-20131024105601#CciafRSoZwHmMiyE.99

C'était la volonté du gouvernement: une hausse des prélèvements sociaux sur les produits de placement dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Les députés ont voté ce mercredi une uniformisation par le haut du taux de prélèvements sociaux, à 15,5%, pour certains contrats d'assurance-vie, plans d'épargne en actions (PEA) et plans d'épargne-logement (PEL), mesure vivement dénoncée par la droite.

>> Lire aussi: PEA, PEL, assurance-vie: ce que change la hausse de la fiscalité

Cette réforme du calcul des prélèvements sociaux sur les produits de placement exonérés d'impôt sur le revenu, contenue dans le projet de loi de financement de Sécurité sociale (PLFSS) pour 2014, doit rapporter 600 millions d'euros, dont 450 millions affectés à la Sécu. Elle a été adoptée par 64 voix contre 22.

Si le gouvernement a défendu une mesure de "justice fiscale" nécessaire au redressement des comptes sociaux, l'opposition a critiqué "un Etat spoliateur et injuste" ainsi qu'"une insécurité juridique et fiscale tout à fait néfaste".

L'ensemble des revenus du capital sont soumis à des prélèvements de 15,5% lors de leur réalisation mais, jusqu'à maintenant, une règle dérogatoire s'appliquait à certains produits de placement.

A compter du 26 septembre 2013

L'article 8 du PLFSS propose d'appliquer le taux de 15,5% à l'intégralité des gains constitués depuis 1997 (année qui correspond à l'assujettissement des produits de placement à la CSG). Ce taux doit s'appliquer, notamment aux rachats, à compter du 26 septembre 2013, date de présentation publique de la mesure.

Sont concernés essentiellement les produits issus des plans d'épargne en actions (PEA) de plus de cinq ans, des primes versées avant le 26 septembre 1997 sur des contrats d'assurance-vie multi-supports, de l'épargne salariale, des primes versées dans le cadre des comptes et plans épargne logement (CEL et PEL), et des intérêts acquis sur des plans d'épargne logement (PEL) de moins de 10 ans souscrits avant le 1er mars 2011.

L'Assemblée nationale a voté plusieurs amendements de précisions gouvernementaux, présentés en séance.

Critiques de l'opposition

L'opposition a proposé en vain de supprimer la mesure, d'en exclure certains placements ou encore de ne l'appliquer qu'aux nouveaux contrats conclus à partir du 1er janvier.

Les députés UMP se sont succédé pour dénoncer "l'acharnement" de la majorité "à vouloir détruire l'épargne des classes moyennes" et des "petits épargnants qui mettent de côté pour pouvoir acheter un logement ou transmettre à leurs enfants un petit patrimoine" mais aussi une "trahison" puisque "les gens ne pouvaient pas anticiper la rétroactivité".

L'UDI a épinglé une mesure qui ne touche pas "des nantis" et reproché au gouvernement de "gratter les fonds de tiroirs". Gilbert Collard, au nom du FN, s'est alarmé d'une "suppression des petits épargnants".

 

Jugeant la droite mal placée pour "donner des leçons", le ministre délégué au Budget Bernard Cazeneuve, a riposté: "si nous prenons ces mesures-là, ce n'est pas par appétence particulière pour l'impôt, mais parce que nous sommes confrontés à des déficits sociaux qui ont pris une dimension abyssale".

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24 octobre 2013 4 24 /10 /octobre /2013 09:33

Solutions 30 logo

Mnémo : ALS30

Dernier cours : 15,50 €

Capitalisation boursière : 77,06 M €

http://www.solutions30.com/

Introduction à 1,21 € (ajusté : distributions gratuites d’action 1 pour 1 en juin 2009, 2010 et 2013) le 15 déc 2005

Les capitaux propres au 30 juin 2013 sont de 13,2 M €. Le « price to book » (ratio capitalisation boursière / capitaux propres), notion très utilisée par les professionnels de la finance, est ainsi de 5,83.

En dessous de 1, c’est considéré comme faible. Plus de 4 c’est le signe d’une société de croissance et en bonne santé.

Au T4 2012, le CA s'établissait à 21 M €.

Si l'on retrouve au T4 2013 la même croissance qu'au T3, la CA annuel devrait ainsi être proche de la prévision de 100 €.

 

Chiffre d’affaires des neuf premiers mois de 2013

+18,4% à 66,4 M€ (+ 33% sur le 3ème trimestre)

Progression de 17,6% de l’international

 

 Communiqué de presse du 23 octobre 2013

Sur les neuf premiers mois de l’exercice 2013, le chiffre d’affaires consolidé de SOLUTIONS 30 s’est élevé à 66,4 M€, en progression de 18,4% par rapport à la même période de 2012. Cette croissance a été portée à hauteur de 80% par les acquisitions. Sur le seul troisième trimestre, le chiffre d’affaires consolidé a progressé de 33% pour s’établir 23,4 M€.

En millions d’euros

2013

2012

Variation (%)

1er trimestre

19,6

20,2

-3,00%

2ème trimestre

23,4

18,3

27,90%

3ème trimestre

23,4

17,6

33,00%

Neuf premiers mois

66,4

56,1

18,40%

L’activité internationale (Italie, Benelux, Allemagne et Espagne) a continué de progresser en valeur absolue pour s’établir à 14,7 M€ (+17,6% par rapport aux neuf premiers mois de 2012, 60% de cette croissance étant organique). Elle s’est stabilisée à 22 % du chiffre d’affaires total compte tenu de l’intégration, au 1er avril, des activités de CIS qui ont notablement augmenté le chiffre d’affaires France.

Il est rappelé que SOLUTIONS 30 a intégré au 1er octobre les activités de la société allemande B&F, basée à Stuttgart et active dans le secteur Informatique & Télécom, réalisant un chiffre d’affaires de près de 3 M€ en année pleine.

Prochains rendez-vous :

24 janvier 2014 : Chiffre d’affaires annuel 2013

A propos de Solutions 30

Le groupe Solutions 30 (ex PC30) est le leader européen des solutions pour les Nouvelles Technologies. Sa mission est de rendre accessibles à tous, particuliers et entreprises, les mutations technologiques qui transforment notre vie quotidienne: hier l’informatique et Internet, aujourd’hui le numérique, demain les technologies qui rendront le monde toujours plus interconnecté en temps réel. Fort de plus de 4 millions d’interventions réalisées depuis sa création et organisé autour d’un réseau de techniciens de proximité, Solutions 30 couvre actuellement la totalité du territoire en France, Italie, Espagne, Pays-Bas, Belgique et Allemagne.

 

Solutions 30 est une société cotée sur Alternext- ISIN FR0010263335 – code ALS30. 

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23 octobre 2013 3 23 /10 /octobre /2013 12:22

 

Impôts : s'attaquer à la manne fiscale de la résidence principale n'est plus un tabou !

Par Robin Massonnaud pour VotreArgent.fr, publié le 12/09/2013 à 14:54

Le Conseil d'Analyse économique propose d'imposer le loyer et la plus-value fictive correspondant à la détention de sa résidence principale. 

C'est une véritable bombe à retardement, un cauchemar pour les propriétaires qui se sont endettés pendant de nombreuses années pour acheter leur résidence principale. Le rapport du Conseil d'Analyse Economique présenté au Premier Ministre le 10 septembre propose d'accentuer la taxation des résidences principales. 

Dans un jargon très administratif donc peu clair pour le commun des mortels le CAE considérant qu'il convient de réduire les inégalités de traitement fiscal préconise " de rééquilibrer la fiscalité vers l'immobilier en taxant les loyers implicites nets des intérêts d'emprunt ou, à défaut, en relevant les taxes foncières via la mise à jour les valeurs locatives. S'agissant des plus-values, nous proposons simplement d'annualiser la plus-value réelle (en déduisant l'inflation) avant de l'imposer au barème général de l'impôt sur le revenu ". 

Concrètement, à quelle sauce seriez-vous dévoré ?

Tout d'abord, le fisc ajouterait à votre revenu taxable le loyer réel que vous percevriez de votre résidence principale si vous vous décidiez à la louer. Comme pour un revenu foncier, vous seriez autorisé à déduire les intérêts d'emprunt. Mais le résultat c'est que vous seriez amené à payer l'impôt sur un revenu fictif. Bref, la jouissance de votre habitation supporterait l'impôt.  

Une augmentation d'impôt de 86% !

Prenons un exemple simple. En louant votre habitation, vous pourriez obtenir un loyer de 1 500 euros par mois soit 18 000 euros par an. Déduction faite de vos intérêts d'emprunt (5 500 euros annuels) on arrive à un revenu fictif de 12 500 euros. Le fisc l'ajouterait à vos salaires et appliquerait l'impôt progressif. Supposons que vous êtes marié avec deux enfants et 43 200 euros de salaires nets taxables. Sur ces salaires, vous payez 2 031 euros d'impôt sur le revenu. Si on y ajoute 12 500 euros votre facture fiscale passerait à 3 780 euros soit 1 749 de plus et une augmentation de 86 % ! 

Et nos gouvernants évoquent la bouche en coeur une pause fiscale. On se demande franchement s'ils ne prennent pas le contribuable pour une vache à lait stupide. 

Taxer tous les ans l'augmentation de valeur des résidences principales

Mais la surtaxation ne s'arrêterait pas en si bon chemin. Le CAE propose également de taxer tous les ans l'augmentation de valeur des résidences principales des contribuables. Autrement dit les propriétaires paieraient tous les ans un impôt sur les plus-values au taux de 34,5 %. En supposant que votre habitation qui valait 400 000 euros en 2012 a pris 2 % de valeur en 2013 inflation déduite, soit 8 000 euros de plus, vous seriez obligé de vous acquitter d'un impôt de 2 760 euros. Bien entendu le CAE n'évoque pas une baisse des prix qui donnerait droit au propriétaire appauvri à un crédit d'impôt. Il est en effet uniquement question d'augmenter les recettes d'un Etat en déficit permanent. 

Si de telles mesures étaient adoptées, la facture de notre famille augmenterait de 4 509 euros. 

Si l'on y ajoute des impôts locaux parmi les plus élevés au monde, devenir propriétaire de sa résidence principale vous donnera le droit d'être racketté fiscalement. 

Espérons que ces propositions délirantes passeront à la trappe ! 


En savoir plus sur 

http://votreargent.lexpress.fr/impots/impots-s-attaquer-a-la-manne-fiscale-de-la-residence-principale-n-est-plus-un-tabou_336977.html#4qxWHRTIe6dqtvZv.99

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22 octobre 2013 2 22 /10 /octobre /2013 17:07

 

Je ne pense pas que les français aient sorti 2 milliards du livret A et du LDD pour les mettre sur un autre support d'épargne. Par exemple le livret Orange d'ING ne rapporte pas plus (1,25%) mais est, lui, fiscalisé.

Je pense plutôt que les français ont désépargné pour payer les impôts du T4 (solde de l'impôt sur le revenu, taxe foncière, taxe d'habitation ....).

On ne sait pas s'il y a eu également décollecte sur les autres livrets ?

Ce n'est pas bon signe pour la croissance !

LES  ÉPARGNANTS  SORTENT  MASSIVEMENT  DES  LIVRETS  A !

Publié par Olivier Decarre | aujourd'hui à 15:41

LIVRET  ACTU3

La décollecte a atteint 1,56 milliard d’euros en septembre. Du jamais vu depuis 1999. En ajoutant les chiffres du LDD, les retraits ont même dépassé les 2 milliards d’euros

Est-ce la conséquence d’une rémunération devenue trop faible ou bien les Français ont-ils eu besoin de piocher dans leur épargne pour assurer le quotidien et payer leurs impôts ? Toujours est-il que le Livret A a connu une décollecte particulièrement spectaculaire en septembre, d’après la Caisse des dépôts et consignations.

Les épargnants ont retiré le mois dernier 1,56 milliard d’euros de leurs Livrets A. Certes, depuis le début de l’année, la tendance avait déjà montré des signes de faiblesse. Il n’empêche que le retournement apparaît relativement violent.

Un record depuis 14 ans

Il faut remonter à novembre 2011 pour trouver trace de la dernière décollecte sur le Livret. Et encore celle-ci s’était-elle alors limitée à quelque 40 millions d’euros. Pour détecter des sorties plus massives, il convient de plonger beaucoup plus loin dans les chiffres : jusqu’en septembre 1999 lorsque les retraits s’étaient élevés à un équivalent de 1,76 milliard d’euros (d’après la Banque de France).

Le LDD n’a pas non plus été épargné. Les Français lui ont repris 520 millions d’euros le mois dernier. Tant et si bien que la décollecte cumulée des deux supports réglementés a dépassé la barre des 2 milliards d’euros.

Bien entendu, cela ne suffit pas à remettre en cause les bons chiffres du début d’année. Malgré ce revirement, la collecte demeure largement positive, au cumul des 10 premiers mois de 2013, avec des flux de près de 21 milliards d’euros pour le Livret A et le LDD.

 

Ceci étant, les données de septembre devraient susciter de nombreux commentaires, notamment sur l’état des finances des ménages à l’heure actuelle.

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22 octobre 2013 2 22 /10 /octobre /2013 12:42

Solutions 30 logo

Mnémo : ALS30

Dernier cours : 15,40 €

Capitalisation boursière : 76,57 M €

http://www.solutions30.com/

Introduction à 1,21 € (ajusté : distributions gratuites d’action 1 pour 1 en juin 2009, 2010 et 2013) le 15 déc 2005

Les capitaux propres au 30 juin 2013 sont de 13,2 M €. Le « price to book » (ratio capitalisation boursière / capitaux propres), notion très utilisée par les professionnels de la finance, est ainsi de 5,80.

En dessous de 1, c’est considéré comme faible. Plus de 4 c’est le signe d’une société de croissance et en bonne santé.

 

Entretien avec Gianbeppi Fortis, PDG de Solutions 30

Nous anticipons du chiffre d'affaires lié à Linky dès 2015

Boursier.com : Solutions 30 continue de délivrer une forte croissance...

G.F. : Au premier semestre, nous avons généré 43 ME de chiffre d'affaires et nous anticipons une progression d'environ 20% pour l'ensemble de 2013. Notre rentabilité courante avant impôts a atteint 6,3% du chiffre d'affaires soit 60% de mieux que l'an passé.

Boursier.com : Retrouvera-t-on cette forte progression de la rentabilité au second semestre ?

G.F. : Oui, il n'y a pas de raison pour que notre niveau de rentabilité actuel ne soit pas confirmé sur la deuxième partie de 2013.

Boursier.com : Une partie importante de votre développement se déroule désormais à l'international. Pourquoi avoir notamment mis l'accent sur l'Allemagne?

G.F. : Le chiffre d'affaires réalisé à l'international représente désormais environ un quart de notre chiffre d'affaires total. Nous avons décidé de nous développer par croissance externe, ce que nous réussissions bien en France. Nous avons ainsi acquis une société en Italie cet été, renforçant notre présence chez HP, un grand compte pour nous et ensuite, nous avons réalisé une acquisition en Allemagne, il s'agit d'une petite société bien implantée chez le principal câblo-opérateur allemand.

Boursier.com : Ces acquisitions à l'international ont-elles été menées comme celles réalisées en France, c'est-à-dire des opérations vous réclamant peu de cash ?

G.F. : Absolument ! Ces opérations sont auto-financées. Nous ne dépensons pas beaucoup de cash et ces opérations sont extrêmement relutives pour nos actionnaires.

Boursier.com : Solutions 30 est toujours dans les starting-blocks, postulant sur deux projets français gigantesques : les compteurs Linky dont vous ambitionnez d'être un des acteurs de la maintenance et le développement de la fibre optique. Où en sont ces projets ?

G.F. : Ces gros projets d'infrastructures constituent de très bonnes nouvelles pour le marché Français. L'appel d'offre Linky est lancé et nous anticipons du chiffre d'affaires à partir de 2015, sur un marché évalué à 1,5 Milliard d'Euros sur la partie nous concernant. Un projet similaire est lancé chez GDF Suez, "Gazpar", qui représente environ un tiers de la taille du projet Linky. Nous sommes bien placés sur ces deux projets qui vont représenter un important relai de croissance pour Solutions 30 à partir de 2015.

Boursier.com : Y a-t-il des projets similaires sur lesquels vous pourriez intervenir en Europe ?

G.F. : Des projets sont en cours en Italie dans le gaz, et dans l'électricité un peu partout et notamment en Allemagne.

Boursier.com : Comment fait-on pour reclasser 30% de votre capital aussi facilement comme vous l'avez fait au printemps dernier ?

G.F. : Deux actionnaires historiques, Sofinova et un fonds de Natixis sont sortis et nous avons réussi à reclasser leurs lignes auprès de plusieurs maisons de gestion. La liquidité du titre en a bénéficié. Notre activité, facile à comprendre, sur un créneau très porteur, nous confère un modèle qui intéresse les investisseurs. Les résultats que nous dégageons plaident aussi en notre faveur.

 

Propos recueillis par Arnaud Bivès - ©2013 www.boursier.com

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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 10:09

Solabios

Mnémo : ALSOA

Dernier cours : 1,31 € (suspendu)

Introduction en bourse le 19 mai 2009 à 9,31 €

Capitalisation boursière : 0,79 M €

http://www.solabios.com

Ayant été nommé "administrateur INDEPENDANT" de la société fin février 2013 et sans savoir si je le suis encore après cet imbroglio dramatique depuis le 23 septembre 2013, je ne peux pas commenter cet article de Boursier.com.

Voici un lien intéressant pour ceux qui ne savent pas ce qu'est une procédure de sauvegarde (plusieurs de nos sociétés sont actuellement concernées : STS Group, RISC Group, Body One) :

http://www.senat.fr/rap/a04-337/a04-3376.html

Solabios : ouverture d'une procédure de sauvegarde

Le 18/10/2013 à 15h46

(Boursier.com) -- Le Solabios dirigé par Frédéric Errera communique ce vendredi pour annoncer que l'audit lancé récemment a abouti à l'ouverture d'une procédure de sauvegarde de la société par le Tribunal de Commerce de Nice.

L'objectif de l'audit était de "dresser un état de la situation financière, telle qu'elle a été laissée par l'ancienne direction générale". Le DG de la période étant Avy Partouche, qui revendique aussi le titre de PDG.

On lit dans le communiqué diffusé ce jour que "contrairement aux informations qui ont été communiquées par l'ancienne direction générale, l'activité de la société n'est pas alignée avec les prévisions sur lesquelles se fonde la restructuration élaborée dans le cadre du mandat ad hoc achevée avec succès en janvier 2013".

Frédéric Errera reproche notamment à l'ancien DG "de nombreux projets qui auraient dû être commercialisés et qui ne l'ont finalement pas été. De ce fait, la trésorerie positive de plus de 1,5 Million d'euros existant à la sortie du mandat ad hoc a été très largement consommée". Toutefois, en l'état, la société n'est pas en état de cessation des paiements.

L'audit conclut qu'au 30 septembre, le chiffre d'affaires s'élève à 1,54 ME, les charges d'exploitation à 2,93 ME. Le résultat de l'exercice s'établit en perte de -5.53 ME (dont 2,48 ME de dotations aux amortissements, dépréciations et provisions).

L'audit explique aussi que les échéances obligataires de janvier 2014 ne peuvent être honorées.

Face à cette situation, Monsieur Frédéric Errera, a requis l'ouverture d'une procédure de sauvegarde, afin de préserver les intérêts de la société et de ses parties prenantes. "Par un jugement du 17 octobre 2013, le Tribunal de commerce de Nice a fait droit à cette demande et ouvert une procédure de sauvegarde, avec une période d'observation d'une durée initiale de 6 mois, jusqu'au 17 avril 2014", est-il donc annoncé dans le communiqué de presse daté de ce jour.

Selon les prévisions non auditées du cabinet Deloitte In Extenso, Solabios devrait disposer de la trésorerie nécessaire pour financer son exploitation courante pendant cette période.

"Le jugement du Tribunal de commerce de Nice du 17 octobre 2013 confirme que Monsieur Frédéric Errera est le Président Directeur Général de Solabios", ajoute Frédéric Errera, qui indique encore que l'ancienne direction aurait dû "envisager de mettre la société sous la protection du Tribunal de commerce dès le début de l'été".

"A ce jour, la reprise du contrôle de la direction opérationnelle le 23 septembre 2013 a permis d'éviter une faillite qui, sinon, aurait été très probablement inéluctable. Elle permet, au travers de la sauvegarde, d'offrir à Solabios SA la possibilité d'examiner sous le contrôle du Tribunal les différentes solutions permettant de restaurer les conditions de sa rentabilité".

Du côté d'Avy Partouche, la logique fondée sur l'ajournement de l'Assemblée Générale du 23 septembre se poursuit et on a fait convoquer une nouvelle Assemblée Générale...

 

B.A. - ©2013 www.boursier.com

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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 18:00

Solutions 30 logo

Mnémo : ALS30

Dernier cours : 15,35 €

Capitalisation boursière : 76,32 M €

http://www.solutions30.com/

Introduction à 1,21 € (ajusté : distributions gratuites d’action 1 pour 1 en juin 2009, 2010 et 2013) le 15 déc 2005

Les capitaux propres au 30 juin 2013 sont de 13,2 M €. Le « price to book » (ratio capitalisation boursière / capitaux propres), notion très utilisée par les professionnels de la finance, est ainsi de 5,78.

En dessous de 1, c’est considéré comme faible. Plus de 4 c’est le signe d’une société de croissance et en bonne santé.

 

Que se passe t-il sur Solutions 30 ?

Depuis début septembre le cours de bourse monte régulièrement. De 13 € à cette époque il est passé à 15,35 € aujourd'hui en hausse de 5,21 % ce jour !

A noter un volume important : 11 357 titres dont une ligne de 8 256 titres à 17h07.

 

On peut supposer qu'il y a des gens qui savent ......

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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 15:50

Rentabiliweb logo 1

Dernier cours : 4,82 €

Mnémo : BIL

Capitalisation boursière : 82,76 €

http://www.rentabiliweb.org/

http://www.jaina.fr/accueil.html

Les capitaux propres au 30 juin 2013 sont à 69,4 M €. Le « price to book » (ratio capitalisation boursière / capitaux propres), notion très utilisée par les professionnels de la finance, est ainsi de 1,19.

En dessous de 1, c’est considéré comme faible. Plus de 4 c’est le signe d’une société de croissance et en bonne santé.

 

Résultat test A/B : Be2bill accroît le chiffre d'affaires jusqu'à +10,7%

Bruxelles, le 16 octobre 2013,

Une étude* réalisée par la société AB Tasty, spécialisée dans les tests comparatifs sur Internet, confirme l'influence déterminante de la solution de paiement Be2bill (Groupe Rentabiliweb) sur les taux de conversion des sites marchands.

Pendant les quinze jours d'une période de forte activité (période de soldes), AB Tasty a effectué un test A/B entre Be2bill et une solution de paiement issue d'une banque traditionnelle sur le site de son client MODZ.fr.

- Sur l'ensemble des transactions, Be2bill obtient un taux de conversion supérieur de +7,1 %

- Sur les transactions en provenance de nouveaux clients, le taux de conversion est supérieur de +10,7%.

Ces opérations de testing ont affiché au cours de l'étude un taux de pertinence d'une fiabilité de 99.7%.

Cette étude démontre ainsi l'influence positive de Be2bill sur la conversion des sites marchands sans que ceux-ci aient à recourir à un effort supplémentaire.

« Le test d'AB Tasty nous a permis de valider un accroissement de chiffre d'affaires supplémentaire, à trafic équivalent, en changeant tout simplement de solution de paiement.» affirme Thierry Flechet, Président de MODZ.

«  Le paiement est une étape clé dans la  vente en ligne. Avec un système d'encaissement optimisé et orienté « taux de conversion », les commerçants peuvent désormais maximiser leur chiffre d'affaires et leur rentabilité, à trafic constant.», préciseThibaut Faurès Fustel de Coulanges, Président de Rentabiliweb Europe

Fort de ces résultats, le Groupe Rentabiliweb a décidé de lancer une étude comparative plus large afin de mesurer la performance de sa solution de paiement Be2bill face aux solutions proposées par les principales banques traditionnelles françaises. Cette étude sera intégrée dans un rapport plus vaste sur le paiement en ligne et publiée courant 2014.

* source AB Tasty

http://fr.abtasty.com/avec-ab-tasty-les-e-commercants-testent-leurs-prestataires-de-paiement-et-maximisent-leur-conversion-le-cas-modz-be2bill_128

A propos de Rentabiliweb

Créé en 2002, le Groupe Rentabiliweb offre aux professionnels et aux webmasters la plus importante plate-forme de services de monétisation de leur trafic avec notamment des solutions de paiement. Il a été définitivement agréé Etablissement de  paiement par la Banque de France et membre du Groupement Carte Bancaire afin de pouvoir offrir des solutions d’encaissement en ligne avec la solution Be2Bill. Il développe par ailleurs des programmes d’affiliation, offre des solutions de régie publicitaire on-line, des services vocaux interactifs aux médias offline, et possède une expertise reconnue dans les solutions de fidélisation et de Marketing Direct.

Rentabiliweb est également l’un des premiers éditeurs francophones avec un bouquet de services qui couvre l’ensemble du divertissement grand public : astrologie, services communautaires, jeux familiaux, services grand public et conseils aux Internautes, rencontres, féminin et bien-être, humour et divertissement.

Le Groupe, coté sur le compartiment C d'Euronext Bruxelles et Paris compte à ce jour 19 filiales implantées en Europe et en Amérique et emploie plus de 230 collaborateurs répartis dans le monde. Rentabiliweb a dégagé un chiffre d’affaires 2012 de plus de 70M€ et 1,1M€ d’EBIT. Rentabiliweb est une entreprise qui engage sa responsabilité sociale dans les secteurs d’activité qu’elle développe et qui applique rigoureusement les dix principes établis par l’ONU en tant qu’adhérant au Pacte Mondial. Le Groupe est éligible aux FCPI, disposant du label « Entreprise innovante » d’OSEO.

A propos de Be2bill – www.be2bill.com

Be2bill est une solution de paiement multicanal lancée par Rentabiliweb en 2012. Son statut d’établissement acquéreur -avec la possibilité d’ouvrir des contrats commerçants VAD et de proximité- et de prestataire technique (Payment Service Provider) lui permet d’offrir aux sites de vente en ligne et aux points de vente physiques des solutions optimisées de transactions par cartes bancaires.

Rentabiliweb Europe est agréé par l’Autorité de Contrôle Prudentiel (Banque de France) depuis 2011 et est également membre du Groupement Cartes Bancaires. La solution Be2bill s’appuie sur une plateforme sécurisée agréée PCI/DSS Service Provider level 1 et est le premier établissement acquéreur à avoir obtenu la licence de « Merchant Agent » par le premier réseau mondial VISA.

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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 14:53

 

Réforme du PEA: "La France est championne de l'instabilité fiscale"

Pierre-Henri de Menthon Challenges- 07/10/2013

Charles-Henri d’Auvigny est président de la Fédération des investisseurs individuels et des clubs d'investissement. Il réagit à la modification programmée de la fiscalité des PEA.

Le gouvernement veut taxer à 15,5% les plus-values et dividendes des PEA, qu'en pensez-vous ?

C'est une mesure dite « technique » qui cherche à harmoniser le taux d'imposition. En effet à la création du PEA en 1992, le contrat entre l'investisseur et l'Etat était simple : « tu investis dans des entreprises françaises puis européennes avec un plafond, en échange tu seras exonéré d'impôts à la sortie si tu conserves cet investissement au moins 8 ans ». C'était un excellent moyen d'inciter les Français à investir dans des actions et de se constituer une épargne longue. Mais l'Etat a apporté des coups de canif à ce contrat au fil des années : il a souhaité soumettre les dividendes et les plus-values à une contribution sociale. Le taux de cette contribution n'a cessé d'augmenter sous les gouvernements de droite comme de gauche en passant de 0,5 à 15,5%. L'innovation de ce gouvernement est de faire porter ce taux à l'ensemble des sommes investies dans votre PEA, sans tenir compte de la date de votre investissement. Il impose de manière rétroactive les sommes que vous avez pu investir depuis de nombreuses années dans votre PEA. Cela va à l'encontre d'un de nos principes constitutionnels : la non rétroactivité des lois. Par ailleurs, c'est un message dramatique envoyé aux investisseurs. Investissez et ensuite en fonction de mes besoins je vais vous taxer. Comment voulez-vous investir dans ces conditions ? Vous ne connaissez pas les conséquences fiscales liées à votre investissement. La France est la championne de cette instabilité fiscale. Les règles changent chaque année que le gouvernement soit de droite ou de gauche. C'est un mauvais signal pour retrouver la confiance. La F2iC souhaite que l'imagination fiscale des gouvernements fasse une pause.

L'épargne est abondante en France, n'est-t-il pas logique de plutôt favoriser la consommation, facteur de croissance économique ?

Ce n'est pas en taxant plus l'épargne que vous favoriserez la consommation. Il faut noter que la majorité de l'épargne des Français se porte sur des produits défiscalisés : livret A, PEL et assurance-vie en euros, sans compter l'immobilier. L'épargne financière des Français est concentrée pour plus des 2/3 sur des actifs non risqués (soient 2 430 milliards d'€, rapport annuel de l'Observatoire de l'épargne réglementée, Banque de France). Il est important que cette épargne abondante des Français soit orientée vers les entreprises françaises pour que ces dernières puissent investir et conquérir de nouvelles parts de marché en France, en Europe et dans le monde. Soutenir la consommation est aussi un des moteurs de la croissance. Il est nécessaire d'avoir une politique équilibrée qui ne dénigre pas systématiquement ceux qui investissent et risquent leur épargne dans les entreprises. Investir en actions, c'est prendre des risques. Les gouvernements de droite comme de gauche semblent l'ignorer à chaque projet de loi de finance.

Que pensez-vous du nouveau PEA-PME ?

C'est une excellente idée initiée par PME Finance et l'Institut Pro-actions. Cela va permettre aux PME françaises de pouvoir se faire connaître auprès des investisseurs. L'investissement de proximité est un des moteurs de l'épargne chez les Français. Pour que ce PEA PME soit un succès, il est nécessaire que tous les acteurs de la chaîne se mobilisent : les entreprises, les asset managers et surtout les distributeurs que sont les banques. La F2iC prendra aussi sa part pour faire la promotion du PEA PME. Il faut que les règles fixées ne changent pas à la prochaine loi de finances.

En 12 mois, le CAC 40 a pris plus de 20%, les particuliers commencent-ils enfin à revenir en Bourse ?

Des chiffres montrent que les particuliers reviennent investir dans les entreprises cotées en bourse. Au cours des 18 derniers mois, sur les 1,8 milliard d'€ levés sur Euronext lors des introductions en bourse, 27% venaient en direct des particuliers. Les investisseurs individuels ont confiance dans le développement des entreprises françaises. Le PEA PME peut contribuer à ce retour des investissements des particuliers.

 

Propos recueillis par Pierre-Henri de Menthon

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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 14:23

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Mnémo : ALCOG

Dernier cours : 5,97 €

Capitalisation boursière : 14,59 M €

Mnémo : COGBS (attribué gratuitement)

Dernier cours : 0,29 € (5 BSAR permettent de souscrire à 1 act au prix de 6 € jusqu’au 27 oct 2014)

http://www.cogra.fr/

Les capitaux propres au 30 juin 2013 s’élevaient à 7,93 M €. Le « price to book » (ratio capitalisation boursière / capitaux propres), notion très utilisée par les professionnels de la finance, est ainsi de 1,83. En dessous de 1, c’est considéré comme faible. Plus de 4 c’est le signe d’une société de croissance et en bonne santé.

 

Entretien avec Bernard Chapon, PDG et fondateur de Cogra

La page de l'ancienne usine de Mende est tournée !

Boursier.com : Comment s'est passé le démarrage de la nouvelle usine de Séverac-le-Château?

B.C. : La production a pu démarrer le 16 septembre, avec de petites productions. Puis à partir du 30 septembre, sur des niveaux de production plus normatifs, mais avec encore des arrêts, pour modifier et corriger des éléments techniques. Nous sommes toujours en phase d'ajustement, ce qui était prévu, et l'usine n'est pas encore à plein régime.

Boursier.com : Quand l'usine sera-t-elle en pleine capacité de production?

B.C. : Très rapidement. Les arrêts pour ajustements sont moins nombreux et pour des durées plus courtes. Toutes les corrections pour une production parfaite seront bientôt effectuées.

Boursier.com : Pourquoi la rentabilité s'est-elle dégradée lors du dernier exercice ?

B.C. : Le procédé à l'œuvre dans l'ancienne usine de Mende datait de 30 ans... Nous travaillions avec de la sciure, un combustible cher et la production sur le site n'était possible que seulement 16 heures sur 24. Durant cette période de transition vers la nouvelle usine de Séverac-le-Château, nous avions décidé de maintenir cette production car nous souhaitions stocker. Ce qui a entrainé des coûts, mais nous ne voulions pas échapper au Marché... Des frais de maintenance et de réparation nous ont pénalisés et sont à l'origine de la dégradation de nos comptes.

Boursier.com : Quid de la rentabilité sur le nouvel exercice ?

B.C. : Tous les éléments coûteux sont derrière nous. La page est tournée ! Notre rentabilité va augmenter progressivement grâce au double effet de la fermeture de notre ancienne et coûteuse usine de Mende et de l'ouverture de la nouvelle usine qui nous fait gagner en productivité. A titre d'exemple, nous avons produit 2.300 tonnes en 10/12 jours à Séverac-le-Château, soit le double de la production d'un mois de l'usine de Mende ! Nos résultats semestriels, bénéficieront déjà de la montée en puissance de la nouvelle usine, mais seront encore un peu affectés par la transition et par les mois de juillet et août où seule l'usine de Mende opérait. En outre, nous avons réactualisé nos prix, avec une hausse de plus de 10%, ce qui participera à l'amélioration de nos comptes.

Boursier.Com : Comment s'analyse la croissance de +12% du premier trimestre?

B.C. : Nous aurions pu faire mieux... Mais la période était compliquée, j'ai souhaité qu'on conserve des stocks pour ne pas démarrer la nouvelle usine avec un stock proche de 0. C'était indispensable pour assurer le relais en cas d'arrêt technique ou de problème. Vis-à-vis du marché, il aurait été très dangereux d'être en rupture...

Boursier.com : Comment se comporte le marché des granulés de bois?

B.C. : Le marché est toujours en forte croissance. Des phénomènes ont été enregistrés au niveau européen : en Italie, les acteurs concurrents autrichiens se retirent peu à peu du marché, car ils font face à leur propre consommation intérieure en forte hausse. Même phénomène en Allemagne, où le marché du particulier se développe significativement, obligeant les acteurs locaux à les adresser au détriment du nord de la France. Dans notre pays, nous avons été surpris de constater, pour la première fois, des prises de commandes durant la période estivale ! Certains clients ont compris la nécessité de s'approvisionner de façon régulière, y compris en période de non-consommation. Nous avons enregistré des commandes en juillet, ce qui est du jamais vu !

 

Propos recueillis par Arnaud Bivès - ©2013 www.boursier.com

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