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30 septembre 2016 5 30 /09 /septembre /2016 15:25

Nom

Mnémo

Cours

Cours

Cours

Perf. sans coupon

Observation

02/04/15

23/09/15

29/09/16

SOLUTIONS 30

ALS30

6,88

9,13

12,88

87,2%

croissance régulière

MGI Digital Graphic

ALMDG

25,05

29,91

36,00

43,7%

croissance régulière

SCBSM

CBSM

6,59

5,80

5,99

-9,1%

croissance régulière

CBO Territoria

CBOT

3,57

3,51

3,74

4,8%

croissance régulière

GAZTRANS TECHN

GTT

54,16

vendu à 55,75€ le 15 avril 2015

2,9%

 

EUROLAND FINANCE

MLERO

0,46

0,48

0,27

-41,3%

spéculatif

CAC 40

 

5074,14

4462,56

4483,84

-11,6%

 

 

Le 2 avril 2015 je donnais ici mon portefeuille idéal. C'est un mélange de sociétés de rendement et de croissance.

Je possède ces valeurs dans mon propre portefeuille.

Comment a t-il évolué depuis cette date ?

ALS30

Le nominal de ALS30 a été divisé par 2 le 27 mai 2015 puis encore par 2 le 25 juillet 2016. Dans le tableau les cours au 2/04/2015 et 23/09/2015 ont donc été ajusté en conséquence.

ALS30 est une valeur de forte croissance sur la durée. Le cours a été multiplié par 41 en presque 11 ans. La visibilité est forte pour les 4 à 9 ans à venir !

ALMDG

ALMDG est une valeur de croissance régulière et solide avec un actionnaire associé : Konica Minolta qui monte régulièrement au capital .....

Cours de bourse multiplié par 6,7 en 10 ans

SCBSM

SCBSM est une petite société immobilière très bien gérée

ANR au 31 déc 2015 : 11,30 €

Dividende de 0,08 € en janvier 2016

CBOT

CBoT a versé un dividende de 0,15 €en 2015 et 0,17 en 2016.

C'est une alternance à l'assurance vie.

ANR de 5,23 € au 30 juin 2016

GTT

GTT a versé le solde du dividende de 1,16 € le 28 mai 2015.

J'ai vendu ma ligne GTT à 55,75 € le 17 avril 2015 simplement pour prendre mes profits. J'y reviendrai probablement lorsque la bourse aura retrouvé ses esprits car je garde toute ma confiance dans la société !

MLERO

La société est bénéficiaire. Son intérêt est le versement de gros dividende lorsque les contrats annuels ont été importants.

Un dividende de 0,09 € a été versé le 11 septembre 2014.

 

Ce sont toutes des sociétés que je suis depuis de nombreuses années malgré que je ne les traite pas toutes dans ce blog. Je suis à chaque fois actionnaire stable et de longue date.

Je connais la plupart de leurs dirigeants.

Ce sont des sociétés destinées à des investisseurs avec un horizon de 1 à 5 ans.

Comme pour n'importe quelle société, il faut observer le comportement du cours de bourse avant d'acheter. Il y a toujours des creux, relatifs, par exemple entre 2 publications.

Par contre on peut vendre juste après une bonne nouvelle.

Il faut donc mettre ses valeurs dans les "favoris" de votre site boursier et s'intéresser à leur actualité.

Cet article n'est pas une recommandation d'achat mais un partage de mes convictions.

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23 septembre 2015 3 23 /09 /septembre /2015 16:49

Nom

Mnémo

Cours

Cours

Perf. sans coupon

Observation

02/04/2015

23/09/2015

SOLUTIONS 30

ALS30

13,765

18,25

32,58%

croissance régulière

MGI Digital Graphic

ALMDG

25,05

29,91

19,40%

croissance régulière

SCBSM

CBSM

6,59

5,8

-11,99%

croissance régulière

CBO Territoria

CBOT

3,57

3,51

-1,68%

croissance régulière

GAZTRANS TECHN

GTT

54,16

46,19

-14,72%

visibilité long terme

EUROLAND FINANCE

MLERO

0,46

0,48

4,35%

spéculatif

CAC 40

 

5074,14

4462,56

-12,05%

 

 

Le 2 avril 2015 je donnais ici mon portefeuille idéal. C'est un mélange de sociétés de rendement et de croissance.

Comment a t-il évolué ?

ALS30 a distribué 1 action gratuite pour 1 possédée (division du nominal par 2)

CBoT a versé un dividende de 0,15 € et GTT le solde du dividende de 1,16 €.

J'ai vendu ma ligne GTT à 55,75 € le 17 avril 2015 simplement pour prendre mes profits. J'y reviendrai probablement lorsque la bourse aura retrouvé ses esprits car je garde toute ma confiance dans la société !

Ce sont toutes des sociétés que je suis depuis de nombreuses années malgré que je ne les traite pas toutes dans ce blog. Je suis à chaque fois actionnaire stable et de longue date.

Je connais la plupart de leurs dirigeants.

Ce sont des sociétés destinées à des investisseurs avec un horizon de 1 à 5 ans.

Comme pour n'importe quelle société, il faut observer le comportement du cours de bourse avant d'acheter. Il y a toujours des creux, relatifs, par exemple entre 2 publications.

Par contre on peut vendre juste après une bonne nouvelle.

Il faut donc mettre ses valeurs dans les "favoris" de votre site boursier et s'intéresser à leur actualité.

Cet article n'est pas une recommandation d'achat mais un partage de mes convictions.

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2 avril 2015 4 02 /04 /avril /2015 16:31

Nom

Mnémo

Cours

Performance sans coupon

Type de valeur

Observation

1 an

3 ans

Rendt

Croissance

 

SOLUTIONS 30

ALS30

27,53

62,51%

157,29%

 

x

croissance régulière

MGI Digital Graphic

ALMDG

25,05

-27,71%

145,83%

 

x

SCBSM

CBSM

6,59

28,71%

69,41%

 

x

CBO Territoria

CBOT

3,57

-1,65%

23,53%

x

 

GAZTRANS TECHN

GTT

54,16

16,47%

intro le 27 fév 2014

x

 

visibilité long terme

EUROLAND FINANCE

MLERO

0,46

170,59%

0%

x

x

spéculatif

 

Voici mon portefeuille idéal. C'est un mélange de sociétés de rendement et de croissance.

Ce sont toutes des sociétés que je suis depuis de nombreuses années malgré que je ne les traite pas toutes dans ce blog. Je suis à chaque fois actionnaire stable et de longue date.

Je connais la plupart de leurs dirigeants.

Ce sont des sociétés destinées à des investisseurs avec un horizon de 1 à 5 ans.

Comme pour n'importe quelle société, il faut observer le comportement du cours de bourse avant d'acheter. Il y a toujours des creux, relatifs, par exemple entre 2 publications.

Par contre on peut vendre juste après une bonne nouvelle.

Il faut donc mettre ses valeurs dans les "favoris" de votre site boursier et s'intéresser à leur actualité.

Cet article n'est pas une recommandation d'achat mais un partage de mes convictions. Il répond aussi à des questions que certains d'entre vous me posent par téléphone.

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22 octobre 2013 2 22 /10 /octobre /2013 17:07

 

Je ne pense pas que les français aient sorti 2 milliards du livret A et du LDD pour les mettre sur un autre support d'épargne. Par exemple le livret Orange d'ING ne rapporte pas plus (1,25%) mais est, lui, fiscalisé.

Je pense plutôt que les français ont désépargné pour payer les impôts du T4 (solde de l'impôt sur le revenu, taxe foncière, taxe d'habitation ....).

On ne sait pas s'il y a eu également décollecte sur les autres livrets ?

Ce n'est pas bon signe pour la croissance !

LES  ÉPARGNANTS  SORTENT  MASSIVEMENT  DES  LIVRETS  A !

Publié par Olivier Decarre | aujourd'hui à 15:41

LIVRET  ACTU3

La décollecte a atteint 1,56 milliard d’euros en septembre. Du jamais vu depuis 1999. En ajoutant les chiffres du LDD, les retraits ont même dépassé les 2 milliards d’euros

Est-ce la conséquence d’une rémunération devenue trop faible ou bien les Français ont-ils eu besoin de piocher dans leur épargne pour assurer le quotidien et payer leurs impôts ? Toujours est-il que le Livret A a connu une décollecte particulièrement spectaculaire en septembre, d’après la Caisse des dépôts et consignations.

Les épargnants ont retiré le mois dernier 1,56 milliard d’euros de leurs Livrets A. Certes, depuis le début de l’année, la tendance avait déjà montré des signes de faiblesse. Il n’empêche que le retournement apparaît relativement violent.

Un record depuis 14 ans

Il faut remonter à novembre 2011 pour trouver trace de la dernière décollecte sur le Livret. Et encore celle-ci s’était-elle alors limitée à quelque 40 millions d’euros. Pour détecter des sorties plus massives, il convient de plonger beaucoup plus loin dans les chiffres : jusqu’en septembre 1999 lorsque les retraits s’étaient élevés à un équivalent de 1,76 milliard d’euros (d’après la Banque de France).

Le LDD n’a pas non plus été épargné. Les Français lui ont repris 520 millions d’euros le mois dernier. Tant et si bien que la décollecte cumulée des deux supports réglementés a dépassé la barre des 2 milliards d’euros.

Bien entendu, cela ne suffit pas à remettre en cause les bons chiffres du début d’année. Malgré ce revirement, la collecte demeure largement positive, au cumul des 10 premiers mois de 2013, avec des flux de près de 21 milliards d’euros pour le Livret A et le LDD.

 

Ceci étant, les données de septembre devraient susciter de nombreux commentaires, notamment sur l’état des finances des ménages à l’heure actuelle.

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16 octobre 2013 3 16 /10 /octobre /2013 18:40

Christian Eckert : "La fiscalité de l'assurance-vie est trop avantageuse"

Le Monde | 14.10.2013 à 15h55 • Mis à jour le 15.10.2013 à 14h15 |Propos recueillis par Frédéric Cazenave

http://www.lemonde.fr/argent/article/2013/10/14/la-fiscalite-de-l-assurance-vie-est-trop-avantageuse_3495423_1657007.html

L'abattement sur les plus-values et, surtout, les avantages liés à la transmission sont dans la ligne de mire de Christian Eckert. Le député socialiste, rapporteur général de la commission des finances, assure avoir le soutien d'une partie des membres du groupe PS à l'Assemblée pour réformer ce placement.

Vous plaidez pour une réforme de l'assurance-vie. Pourquoi s'attaquer à ce placement ?

Christian Eckert : La France a besoin de diminuer ses déficits publics. Or l'assiette de l'assurance-vie est très large et ce placement bénéficie d'une fiscalité trop avantageuse, tant sur les plus-values que sur les transmissions, au regard de son apport à l'économie. La grande majorité des sommes investies dans l'assurance-vie ne soutient pas les entreprises.

Quelles sont vos propositions ?

Christian Eckert : Il faut jouer sur tous les paramètres. La première mesure serait de réduire le montant de l'abattement de 4 600 euros (ou 9 200 euros pour un couple) à partir duquel les gains sont taxés après huit ans de détention. Le taux de taxation de 7,5 % pourrait, lui, être relevé. Je propose aussi d'abaisser à 100 000 euros, contre 152 500 euros actuellement, le montant des sommes transmises en toute franchise de droits. Cet abattement pourrait aussi ne pas s'appliquer aux personnes redevables de l'ISF, ou du moins à celles concernées par la contribution exceptionnelle des hauts revenus. Par ailleurs, pour les montants supérieurs à 1,5 million d'euros, il me semble logique d'augmenter le taux à 30 %, contre 25 % actuellement, ce qui sera encore favorable par rapport au droit commun.

Ces mesures seraient-elles rétroactives ?

Christian Eckert : Il n'est jamais bien vu de faire de la rétroactivité, mais si nous agissons uniquement sur les flux et non sur le stock, les gains pour les finances publiques seront limités. Pour autant, il ne me paraît pas illogique de conserver des dispositifs plus favorables pour les contrats d'assurance-vie qui sont investis sur des supports diversifiés et donc favorisent l'économie. De même, pour les transmissions, il est aussi possible de faire un distinguo entre les contrats de la grande majorité des épargnants, c'est-à-dire ceux inférieurs à 500 000 euros, et les autres. L'assurance-vie est certes un produit très populaire, mais ses encours sont concentrés au sein d'une petite partie de la population. Le rapport Berger-Lefebvre [remis en avril au premier ministre] montrait qu'un quart des sommes placées dans l'assurance-vie était détenu par moins de 1 % des ménages.

Quel serait le gain pour l'Etat ?

Christian Eckert : Cela dépendra des leviers que le gouvernement acceptera d'actionner, mais il est possible d'en tirer facilement au moins 1 milliard d'euros sans bouleverser la physionomie de ce placement.

Les assureurs pèsent de tout leur poids pour éviter une telle réforme...

Christian Eckert : Je suis assez peu sensible aux arguments des lobbies, car les encours de l'assurance-vie ne sont pas encore suffisamment diversifiés. Il est indispensable aujourd'hui, dans un contexte de besoin de financement pour les entreprises françaises, de réorienter une partie de cette épargne vers l'économie.

Etes-vous écouté à Bercy ?

Christian Eckert : Ecouté oui... mais pas encore entendu. J'aurais souhaité que l'on aille plus vite sur ce sujet. Maintenant, il faudra attendre le projet de loi de finances rectificative. Pour autant, j'ai le soutien d'une partie des députés PS, ce qui devrait être suffisant pour faire bouger les lignes.

 

Frédéric Cazenave 
Journaliste au Monde

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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 15:34

 

Selon les données publiées par l'Insee le 27 septembre 2013, à la fin du deuxième trimestre 2013, la dette publique s’établit à 1912,2 milliards d’euros.

http://www.economie.gouv.fr/cedef/informations-dette-publique

Actuellement elle augmente de 174 milliards/an !

Le taux d'endettement du pays grimpera jusqu'à 95,1% du PIB fin 2014, selon nos informations. Soit environ 1950 milliards qui équivaudront, en théorie, à une ardoise de plus de 30.000 euros par Français.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2013/09/16/20002-20130916ARTFIG00312-la-dette-francaise-va-exploser-tous-les-records-en-2014.php

On peut lire ici ou là que l'état serait tenté de boucher cet énorme trou en se servant dans les économies des français ! Allons nous continuer de nous faire tondre ?

Les raisons de cette dette, je vous les donnais sur ce blog le 2 janvier 2012 :

En janvier 1973 puis par l’article 123 du traité de Lisbonne du 13 décembre 2007, a été mis en place, en toute légalité, un système qui éponge une partie du pouvoir d'achat des français au profit des grandes banques privées.

Je vous rappelle ce que j'écrivais alors :

Lundi 2 janvier 2012

De la charge de la dette aux plans de rigueur

 

èLe 20 décembre 2011, le Figaro publie l’information comme quoi l’état Français devra emprunter 178 milliards d’euros en 2012.

Depuis la loi Pompidou de janvier 1973 aggravée par l’article 123 du traité de Lisbonne du 13 décembre 2007, l’état français n’a plus le droit d’emprunter auprès d’une banque centrale qu’elle soit nationale ou européenne. La seule alternative, pour l’état français, est donc d’emprunter auprès des banques privées.

èLe 21 décembre 2011, les médias annoncent que la Banque Centrale Européenne (BCE) a alloué 489  milliards à 523 banques de la zone euro lors d'une opération inédite de prêt à trois ans à 1%.

Bien entendu, l’état français ne sera pas le seul à devoir emprunter aux banques en 2012. Mais ces banques privées ont maintenant assez de munitions !

Bien entendu les banques privées vont prêter aux états avec des taux dépendant des notes accordées par les agences de notation. Ces taux pourront être de 2 %, 3 %, 7 % et même 30 % suivant la situation économique des états emprunteurs.

Conséquences :

Pour pouvoirs payer ces intérêts monstrueux, les politiques (quel que soit leur appartenance) devront mettre en place de nouveaux plans de rigueur, après avoir bien préparé l’opinion à les recevoir.

Les politiques de rigueur ont plusieurs buts :

- l’un, officiel et terre à terre : rembourser une dette impossible à rembourser

- un autre, saigner le peuple pour arrondir la panse des banksters

- et sans doute le plus important, présent en filigrane dans toutes les politiques menées depuis 30 ans : accroître la conformité aux dogmes du libéralisme, par la suppression du secteur public

Ces plans de rigueur sont distillés, au fil des mois, pour pouvoir être mieux acceptés :

- hausse de la TVA réduite, mais pas seulement sur la restauration

- gel des tranches de l’impôt sur le revenu pendant au moins 2 ans

- cotisations supplémentaires sur les mutuelles de santé

Je ne cite que quelques mesures qui touchent le plus grand nombre.

Conclusions :

Il n’est pas nouveau le fait qu’une minorité de gens puissants prélèvent une dîme, par l’intermédiaire de l’état, sur une majorité de la population.

Bien entendu il faut endormir cette dernière avec des gadgets et des divertissements peu coûteux. Ils sont nombreux autour des médias. Par exemple, les séries américaines insipides de 52 mn qui ont remplacé nos séries françaises de 1h30 qui posaient souvent des questions de société, de notre société.

Il ne faut surtout pas que la population réfléchisse et se pose trop de questions.

Pour tondre les moutons, il vaut mieux que le troupeau reste groupé, docile et sans chef.

En Europe les moutons ne font plus « bêêê » mais « AAA » ou « AA »

Citations :

Voici quelques citations, recueillies par notre ami Serge, de personnages de 1er plan et qui résument bien le sujet qui on le voit bien n’est pas nouveau.

Rothschild

Laissez-moi émettre et contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois. 

David Rockefeller, Rothschild Brothers of London:

Les quelques personnes qui comprennent le système (argent et crédits) seront soit tellement intéressés par les profits qu’il engendre, soit tellement dépendantes des faveurs qu’il conçoit, qu’il n’y aura aucune opposition au sein de cette classe. D’un autre côté, les personnes incapables d’appréhender l’immense avantage retiré du système par le capital porteront leur fardeau sans se plaindre et peut-être sans même remarquer que le système ne sert aucunement leurs intérêts

William Lyon Mackenzie King, ex-premier ministre du Canada

Jusqu’à ce que le contrôle de l’émission de devises et de crédit soit restauré au gouvernement et reconnue comme sa responsabilité la plus flagrante et la plus sacrée, tout discours sur la souveraineté du Parlement et la démocratie est vain et futile... Une fois qu’une nation abandonne le contrôle de ses crédits, il n’importe plus qui fait ses lois... L’usure, une fois aux commandes, coule n’importe quelle nation.

John Adams, père fondateur de la Constitution américaine

Toute la perplexité, la confusion, et la détresse en Amérique ne provient pas des défauts de la Constitution ou de la Confédération ni du désir d’honneur ou de vertu mais de notre ignorance profonde de la nature des devises, du crédit, et de la circulation.

Woodrow Wilson, président des Etats-Unis 1913-1921

Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé. La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités, sont entre les mains de quelques hommes. Nous en sommes venus à être un des gouvernements les plus mal dirigés du monde civilisé un des plus contrôlés et dominés non pas par la conviction et le vote de la majorité mais par l’opinion et la force d’un petit groupe d’hommes dominants.

Sir Josiah Stamp, ancien directeur de la Banque d’Angleterre

Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et en un tour de mains ils créeront assez d’argent pour la racheter. Otez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits.

Encyclopædia Britannica, 14ème Edition

Les banques créent du crédit. C’est une erreur de croire que le crédit des banques est créé dans toute mesure par le versement d’argent aux banques. Un prêt créé par la banque constitue un ajout significatif au volume d’argent de la communauté.

, Directeur de la Banque d’Angleterre 1928-1941 (Réputé 2e fortune d’Angleterre à cette époque) : Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés. Commission Trilatérale en 1991 

Lord Acton, Lord Chief Justice of England, en 1875 :

Le problème récurrent au cours des siècles derniers et qui devra être réglé tôt ou tard est celui du conflit qui oppose le Peuple aux banques.

Sir Josiah Stamp, Governor of Bank of England, en 1920. :

Les banquiers détiennent la Terre. Si vous souhaitez rester leurs esclaves et payer le coût de votre propre esclavagisme, alors laissez-les continuer à créer de l’argent.

George H.W. Bush, en 1992

Si le Peuple avait la moindre idée de ce que nous avons fait, il nous traînerait dans la rue et nous lyncheraient.

James A. Garfield, président des Etats-Unis, assassiné

Celui qui contrôle le volume de la monnaie dans notre pays est maître absolu de toute l’industrie et tout le commerce... et quand vous réalisez que le système entier est très facilement contrôlé, d’une manière ou d’une autre, par une très petite élite de puissants, vous n’aurez pas besoin qu’on vous explique comment les périodes d’inflation et de déflation apparaissent.

Abraham Lincoln, Président des Etats-Unis assassiné

 

Le gouvernement devrait créer, émettre et favoriser la circulation des monnaies et des crédits nécessaires à la satisfaction du besoin de dépense du gouvernement et du besoin d’achat des consommateurs. L’adoption de ces principes doit permettre aux contribuables d’économiser le paiement d’un gros volume d’intérêts. L’argent cessera de gouverner.

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1 août 2013 4 01 /08 /août /2013 14:53

 

Ce matin EDF a augmenté ses tarifs de 5%. Une autre augmentation du même montant est annoncée dans 1 an.

On peut alors se poser la question de changer ou pas de fournisseur d’électricité :

èrien de plus simple et de plus rapide

- Changer de fournisseur est gratuit
- Je n'ai pas besoin de changer le compteur d'électricité / de gaz
- Une seule démarche à accomplir : souscrire un contrat auprès du nouveau fournisseur
- La résiliation de l'ancien contrat est automatique

Comme on peut le lire sur le site « Energie info particuliers » :

http://energie-info.fr/pratique/changer-fournisseur

èmais est ce vraiment intéressant ?

Chaque cas est particulier, il est conseillé de faire « sa propre simulation » sur le site « Energie info comparateurs d’offres d’électricité et/ou de gaz naturel » :

http://comparateur-offres.energie-info.fr/comparateur-offres-electricite-gaz-naturel/criteria.action?profil=particulier


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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 10:17

Voici un article écrit par Thomas, un lecteur du blog.

Il compare 3 solutions pour un investissement immobilier.

Pour ma part, ma préférence va à la 3ème solution à condition de loger votre acquisition dans une assurance vie et de l’assortir d’un crédit.

Attention un placement immobilier n’est pas liquide et il peut procurer une plus ou moins value.

 

Investissement immobilier en 2013, que choisir ?

Pour un investisseur, plusieurs possibilités lui permettent d’effectuer un placement afin de se constituer un patrimoine.

Immobilier classique :

Dans un premier temps il peut se diriger vers une acquisition classique avec un locataire et gérer son bien. Dans ce cas le risque principal est le risque locataire et de ne plus percevoir de loyers. L’imposition sur la plus-value en 2013 ne peut être amortie que au bout de 30 ans alors que c’était 15 ans jusqu’en 2012. De plus beaucoup de charges vont d’ajouter au coût de l’acquisition du bien (travaux, ascenseur, façade etc). Si vous souhaitez vraiment vous diriger vers ce placement immobilier, privilégiez des petites surfaces : Plus rentable et plus facile à louer.

Exemple :

Acquisition studio bien situé : 120 00 €

Loyers : 550 €/mois

Rentabilité : 5,5%

Charges + travaux + taxe + impôts : 2 200 €/an

Rentabilité globale : 3,6%

Résidences de services :

Les résidences de services (étudiante, affaire, tourisme, ehpad) sont des résidences qui permettent de faire un investissement avec un avantage fiscal. En effet il est possible de bénéficier du régime LMNP, LMP ou Censi-Bouvard (défiscalisant). Le plus utilisé aujourd’hui est le régime LMNP (Loueur Meublé Non Professionnel) qui permet d’amortir environ 80% de la valeur du bien pendant une quinzaine d’années et de percevoir des loyers (BIC) nets d'impôts. De plus aucune gestion du bien car se sont des professionnels avec qui vous signez un bail commercial qui s’occuperont de gérer votre bien et la rotation des locataires.

Exemple :

Acquisition d’une chambre EHPAD en LMNP : 130 000€ HT

Loyers : 540 €/mois

Rentabilité : 5%

Charges + travaux + taxe + impôts : 600 €/an

Rentabilité globale : 4,5%

Investir en SCPI :

Aussi appelé pierre-papier, ce placement est à mi-chemin entre un placement immobilier et un placement financier. Vous achetez des parts dans une société de gestion qui s’occupe d’acheter des immeubles et de gérer les locataires. Avec le système de parts vous pouvez investir le montant que vous souhaitez et vous avez une grande flexibilité à ce niveau là. La rentabilité offerte est très attractive avec 5% de rentabilité moyenne. Là encore aucune gestion, c’est la SCPI qui s’occupe des biens et des locataires, vous ne vous occupez que de percevoir vos loyers. Ce placement est un très bon outil patrimoniale car on peut investir de plusieurs façons : en cash, à crédit, dans un contrat d’assurance vie.

Il est également possible de démembrer en achetant uniquement la nue-propriété ou l’usufruit selon le profil de l’investisseur. De plus une société peut acheter des parts de SCPI avec la trésorerie dont elle dispose afin d’obtenir une rente.

Exemple :

Acquisition de parts de SCPI : 100 000 € HT

Loyers : 430 €/mois

Rentabilité : 5,2%

Charges + travaux + taxe + impôts : 800 €/an

Rentabilité globale : 4,3%

Voilà les trois placements que nous estimons être pertinents en ce début d’année 2013 pour se créer un patrimoine immobilier.

Thomas

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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 17:48

La défiscalisation est en berne.

Sans doute parce que les moyens offerts (FCPI, FIP, souscriptions en direct) offrent trop de risque en capital par rapport à la réduction fiscale actuelle.

Pourquoi avoir cassé la machine qui fonctionnait si bien ?

Sans doute le fait de fonctionnaires incompétents ?

Cela a commencé sous le gouvernement Fillion et cela a été aggravé avec le « Ayrault » actuel !

Et ce sont les PME qui trinquent en ne pouvant plus renforcer leurs Fonds propres !

Levée de capitaux sur les FIP et FCPI créés en 2012

Etude AFIC-AFG

Indispensables au financement des start-ups et des PME, les FIP et les FCPI collectent 646 millions d’euros en 2012

Une collecte toutefois en baisse sensible pour la 4ème année consécutive, en réaction à un régime fiscal instable et devenu beaucoup moins attractif

Il est nécessaire et possible de renforcer ces dispositifs dans l’intérêt des épargnants et du financement de l’économie réelle innovante et de proximité

 L’AFG (Association Française de la Gestion financière) et l’AFIC (Association Française des Investisseurs pour la Croissance) publient ce jour les résultats de l’enquête annuelle AFIC-AFG sur la levée de capitaux réalisée en 2012 par les FIP (fonds d’investissement de proximité) et les FCPI (fonds communs de placement dans l’innovation), pour alimenter les PME régionales et les entreprises innovantes.

Une collecte globale de 646 millions d’euros, en baisse de 15% par rapport à 2011

Un total de 646 millions d’euros a été levé par les FIP et les FCPI en 2012, en baisse de 15% par rapport à 2011 (757 millions d’euros).

97% des capitaux (628 millions d’euros) ont été collectés via 83 nouveaux fonds créés en 2012 (44 FIP, 39 FCPI), 3% des capitaux (18 millions d’euros) provenant des fonds constitués les années précédentes.

Le financement en capitaux propres des PME, qui repose aujourd’hui fortement sur l’épargne des particuliers via les FCPI et les FIP, sera ainsi assuré mais à un niveau nettement moindre que les années précédentes (- 43% par rapport à 2008) alors même que l’octroi de crédits par le système bancaire va être malheureusement de plus en plus contraint à l’avenir par le durcissement de la règlementation de sa solvabilité et de sa liquidité.

Le nombre de souscripteurs suit la même évolution : 83 000 en 2012 en baisse sensible par rapport aux années précédentes : 91 000 en 2011 et 145 000 en 2008.

Sensibilité des FIP et des FCPI aux incitations fiscales

Au titre du millésime 2012, les fonds « IR », ont levé 362 millions d’euros, en diminution de 16,3% par rapport à 2011, alors qu’en 2012 la réduction d’impôt dont bénéficient les souscripteurs de ces produits a été ramenée à 18%, après être passée de 25% à 22% l’année précédente. Les fonds « ISF » du millésime 2012, avec une collecte de 266 millions d’euros, ont eux aussi enregistré une baisse de collecte (- 12% par rapport à 2011). Les nouvelles mesures fiscales 2013, avec notamment l’intégration dans le plafonnement global de 10.000 euros des réductions d’IR au titre des investissements dans ces fonds, risquent de renforcer ces évolutions défavorables aux PME à la recherche de moyens pour financer leurs investissements et leur croissance.

« Le constat se confirme depuis maintenant 4 ans. A défaut d’une fiscalité stable et attractive, les FIP et les FCPI seront malheureusement peu à peu asphyxiés.

Or ces produits contribuent directement à l’économie réelle et de proximité. Dès lors, nous réitérons notre demande aux pouvoirs publics de rétablir une fiscalité incitative avec en particulier la non inclusion dans le plafonnement global de 10.000 euros pour ces véhicules d’investissement, qui constituent 50% des ressources du capital-risque en France. Il en va de la survie du financement de l’innovation.»déclarent Louis Godron, Président de l’AFIC, et Paul-Henri de La Porte du Theil, Président de l’AFG.

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16 novembre 2012 5 16 /11 /novembre /2012 18:22

Une possibilité de placer ses liquidités lorsque les pistes traditionnelles sont « bouchées ».

S’assurer toutefois que la société émettrice est en bonne santé.

Celle-ci est bénéficiaire et semble très active.

http://www.groupe-capelli.com/

http://www.groupe-capelli.com/entreprise/actionnaires_chiffres.php

Les PME peuvent lever de la dette via une nouvelle offre d'Euronext

vendredi 16 novembre 2012 13h09

* NYSE Euronext offre aux PME une nouvelle source de financement

* Tente de faire revenir les particuliers sur les marchés

* Capelli a lancé cette semaine un emprunt obligataire de E15 mlns à 5 ans

* L'emprunt de la PME lyonnaise offre un coupon de 7%

par Raoul Sachs

PARIS, 15 novembre (Reuters) –

Le promoteur immobilier lyonnais Capelli a lancé cette semaine un emprunt obligataire de 15 millions d'euros à 5 ans en s'appuyant sur un nouveau dispositif proposé par NYSE Euronext pour ouvrir l'accès au marché de la dette aux petites entreprises confrontées au resserrement du crédit bancaire.

Annoncée fin juin, cette offre baptisée "IBO" pour "initial bond offering" ressemble au dispositif très rodé des introductions en Bourse (IPO, initial public offering) et s'adresse en priorité aux particuliers, a expliqué à Reuters Marc Lefèvre, directeur Europe du développement commercial et des relations avec les émetteurs de NYSE Euronext.

Ainsi Capelli, dont les actions sont déjà cotées sur NYSE Alternext, le segment petites entreprises de NYSE Euronext, la souscription est ouverte depuis lundi et sera close le 28 novembre, l'opérateur de la Bourse assurant comme une IPO la centralisation des ordres. Les obligations offrent un intérêt brut annuel de 7% pendant 5 ans, sauf remboursement anticipé par l'émetteur à partir du 4 décembre 2015.

A la différence des grandes émissions obligataires syndiquées classiques et des IPO, le prix est fixé d'avance à 100 euros par titre et cela vaut pour toute opération réalisée par IBO sur NYSE Euronext.

Le produit est ainsi standardisé, coté sur un marché réglementé avec une chambre de compensation, contrepartie centrale, en l'occurrence Euroclear, alors que le marché du crédit fonctionne de gré à gré entre professionnels.

"Il s'agit d'aider les petites entreprises à trouver des financements, de favoriser le retour des investisseurs particuliers sur les marchés, éventuellement de les intéresser à nouveau aux actions qu'ils ont délaissées. Et ainsi de faire en sorte que l'épargne retrouve le chemin du financement de l'économie", a dit Marc Lefèvre.

"Nous voulons permettre à terme à toutes les PME d'en bénéficier", a-t-il ajouté.

Capelli est la deuxième société à utiliser le nouveau dispositif après AgroGeneration qui a émis en juillet 9,4 millions d'euros à 6 ans avec un coupon de 8%.

PASSER AU STADE INDUSTRIEL

Dans un premier temps, l'IBO est ouverte aux entreprises cotées sur NYSE Alternext ou NYSE Euronext.Tout émetteur doit être noté par une agence accréditée auprès de l'autorité européenne de régulation, l'ESMA (European Securities and Market Authority).

Les grandes agences de notation (Fitch, Moody's et S&P) n'étant pas adaptées pour noter les PME-ETI, plusieurs agences spécialisées ont été sélectionnées : Creditform Rating AG, Compania Portuguesa de Rating, Euler Hermes Rating, GBB rating et Scope Credit Rating.

Scope a ainsi donné la note "BBB" à Capelli.

"Outre AgroGeneration et Capelli (...), il y a une vingtaine de sociétés qui sont intéressées par l'offre", a indiqué Marc Lefèvre.

"Notre objectif est de passer d'un processus épisodique à un processus industriel", a-t-il ajouté, en précisant que les "E-brokers" ont un rôle central puisque l'offre s'adresse aux investisseurs individuels.

La cotation des obligations fait l'objet d'un fixing une fois par jour compte tenu de la taille modeste des encours.

La taille minimale exigée par émission est de 5 millions d'euros pour les sociétés cotées sur NYSE Alternext et de 10 millions pour celles cotées sur NYSE Euronext.

(Edité par Dominique Rodriguez)

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