Mnémo : RSC

Dernier cours : 0,24 €

Capitalisation boursière : 25,77 M €

http://www.risc-group.com/risc-group-corporate/

Pour éviter d’avoir des problèmes de gestion de rompus il est conseillé aux actionnaires actuels, qui n’auraient pas un multiple de 100 actions, de vendre ou d’acheter des actions (avant le 3 mars) afin d’atteindre ce multiple.

Risc Group lance son opération de regroupement d’actions qui interviendra le 3 mars 2011

 Base d’échange :

100 actions anciennes contre 1 action nouvelle 

Boulogne-Billancourt, le 9 février 2011

L’Assemblée Générale Extraordinaire qui s’est tenue le 16 Décembre 2010 a approuvé le regroupement de 100 actions Risc Group en 1 action nouvelle et a donné tous pouvoirs au Conseil d’administration pour mettre en œuvre cette décision. Le Conseil d’administration, dans sa séance du 8 février 2011, a décidé que le regroupement des actions interviendrait le 3 mars 2011, date à laquelle seront cotées les nouvelles actions Risc Group. 

Risc Group rappelle que ce regroupement d’actions vise à permettre à la Société de retrouver un cours plus conforme aux standards de marché ainsi qu’à réduire la volatilité intrinsèque du titre induite par la valeur actuelle de l’action. Cette opération n’aura aucun impact sur le montant du capital de la Société, ni sur la valeur du portefeuille d’actions Risc Group détenues par les actionnaires. 

Cette opération sera réalisée selon les modalités suivantes :

èBase d’échange : échange de 100 actions anciennes contre 1 action nouvelle.

èNombre d'actions anciennes soumises au regroupement : 107.904.500 actions d'une valeur nominale de 0,20 € chacune.

èNombre d'actions nouvelles à provenir du regroupement : 1.079.045 actions d'une valeur nominale de 20 € euro chacune.

A titre d'exemple, le cours de clôture du 7 février 2011 à 0,24 € correspondrait à un nouveau cours de 24 €.

Par conséquent, le nombre de titres Risc Group en circulation sera divisé par 100 et passera de 107.904.500 à 1.079.045.

Un avis relatif au regroupement d’actions sera publié le 16 février 2011 au Bulletin des Annonces Légales Obligatoires.

Les actions soumises au regroupement sont cotées sur Euronext Paris ;
Code ISIN : FR0010542647, Code Mnémonique : RSC.

Le nouveau code ISIN des actions regroupées sera communiqué ultérieurement par le biais d’un communiqué de presse publié sur le site de Risc Group et d’un avis Euronext.

Le regroupement sera effectué en procédure d'office, la conversion étant réalisée automatiquement par les intermédiaires financiers pour chaque lot de 100 actions anciennes. Les actionnaires qui n'auraient pas un nombre d'actions anciennes correspondant à un nombre entier d'actions nouvelles devront faire leur affaire personnelle de l'achat ou de la vente de leurs actions anciennes formant rompus, avec leur intermédiaire financier, puis devront demander l’échange de leurs actions anciennes auprès de :

CACEIS Corporate Trust, 14 rue Rouget de Lisle, 92862 Issy-les-Moulineaux.

Les actions non regroupées seront transférées à partir du 4 mars 2011 sur le compartiment des valeurs radiées d’Euronext (CVRMR) et resteront cotées jusqu’au 3 mars 2013.

A l'expiration d'un délai de 2 ans après le début des opérations de regroupement (soit le 4 mars 2013), les actions nouvelles non réclamées par les ayants droits seront vendues en bourse et le produit net de la vente sera tenu à leur disposition pendant dix ans sur un compte bloqué ouvert auprès de CACEIS Corporate Trust. A l’expiration du délai de 10 ans, les sommes revenant aux ayants droits seront versées à la Caisse des Dépôts et Consignations et resteront à leur disposition sous réserve de la prescription trentenaire au profit de l’Etat.

Pour plus d’informations sur le regroupement : www.risc-group.com (à partir du 14 février 2011)

A propos de Risc Group

Risc Group est un acteur majeur européen des services informatiques externalisés.

La société propose à la fois une infrastructure de réseaux interconnectés aux plus grands opérateurs en mode IaaS[1] et une gamme complète de services informatiques managés en mode SaaS[2]. Risc Group apporte ainsi de manière optimale à ses clients des services de : mobilité, sauvegarde, protection des réseaux, vidéosurveillance, infogérance, télécommunications et des applications en mode hébergé. La société dispose d’équipes commerciales et de support de proximité auprès de  ses clients en Europe (TPE, PME, Grands Comptes et Collectivités Locales) dans tous les secteurs d’activités.

Risc Group est organisé autour de trois pôles :

      èRisc Group InBox : le pôle TPE & PME dédié aux sociétés en France et à l’international disposant de 5 à 100 postes informatiques.

      èRisc Group IT Solutions : le pôle Moyennes & Grandes Entreprises en France dédié aux sociétés disposant de plus de 100 postes informatiques (ex Ornis).

      èBackup Avenue : canal de vente indirect de Risc Group.

Coté sur Euronext Paris (compartiment C), Risc Group est une société anonyme au capital de 21.471.890,40 €. Le Groupe a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 64,8 M€ sur le dernier exercice fiscal de 12 mois clos le 30 juin 2010, pour un résultat opérationnel courant déficitaire de -7,5 M€. Risc Group emploie à ce jour 296 personnes et dispose de 16 bureaux répartis dans 6 pays (France, Allemagne, Belgique, Espagne, Suisse et Grande-Bretagne).

1 : IaaS : Infrastructure as a Service

2 : SaaS : Software as a Service

Code Isin : FR0010542647 | Code MNEMO : RSC | Site web :

www.riscgroup.com

http://www.enerzine.com/1/11332+photovoltaique---sortir-edf-en-de-la-file-dattente+.html

Ciel et Terre une société qui depuis 2006, développe et exploite en métropole et à la Réunion des centrales solaires photovoltaïques en toitures industrielles de grande taille - plus de 2 000 m² - et au sol - dénonce la main mise d'EDF-EN (la filiale énergie renouvelable d'EDF) sur le marché du photovoltaïque en France.

Selon la société implantée à Wasquehal (59), « le premier spéculateur est bien le principal bénéficiaire des autorisations accordées ou demandées, à savoir EDF-EN, qui détient plus de 50% de la file d'attente ». Aussi, demande t-elle aux ministres concernés « d'exiger qu'EDF-EN renonce totalement à ses projets en file d'attente. Ce qui permettrait de dégonfler immédiatement cette dernière, en deçà des objectifs du Grenelle et laisserait ainsi de l'air aux PME concurrencées de façon déloyale par EDF-EN, qui bénéficie pour sa part manifestement de conditions particulièrement avantageuses auprès des services instructeurs. »

LETTRE OUVERTE

A Mme Kosciusko-Morizet, Ministre de l'Ecologie, et à Mr Besson, Ministre de l'Industrie, Sur Un moyen simple de réduire la « spéculation » photovoltaïque : la sortie d'EDF-EN de la « file d'attente ».

Madame, Monsieur,

Lors de la récente Assemblée Générale du Syndicat des Energies Renouvelables, vous avez encore une fois rappelé la nécessité de lutter contre la « spéculation » qui frappe le secteur photovoltaïque, prenant ainsi le relais du Premier Ministre qui a parlé de « bulle spéculative », et de tout le discours gouvernemental depuis plusieurs mois.

Les salariés et les dirigeants des PME du secteur photovoltaïque se sentent profondément et gravement insultés, même révoltés, par ces accusations récurrentes. Vous n'imaginez sans doute pas le cœur, la foi et la sincérité de ces milliers de jeunes qui ont créé ou rejoint les entreprises du solaire, pour contribuer à la production de la plus belle des énergies. Ces milliers de jeunes qu'il faut maintenant licencier ou dont les entreprises déposeront bientôt leur bilan.

Mais, puisque vous le dites, nous sommes tous des spéculateurs. Et condamnés à mort pour cela !

Mais qui est donc le plus gros, le plus vilain des spéculateurs ? Le plus gros d'entre nous, bien sûr ! C'est un opérateur qui détient plus de la moitié des projets photovoltaïques en France. Il ne me semble pas vous avoir entendu le condamner. Vous ne le connaissez sans doute pas ? EDF-EN est pourtant filiale d'EDF. Si on ne se trompe pas, EDF est elle-même directement sous la tutelle de l'Etat, qui détient manifestement près de 70% du capital. La spéculation, pour plus de la moitié, est donc le fait direct de votre gouvernement, qui contrôle absolument EDF-EN. Peut-on savoir pourquoi vous n'avez pas interdit à temps aux dirigeants spéculateurs d'EDF leurs pratiques scandaleuses ? Cette fois encore, vous êtes responsables, mais pas coupables ?

Il existe donc un moyen simple, immédiat, pour réduire le volume des projets solaires spéculatifs : il vous suffit, dès demain matin, d'exiger de votre filiale EDF-EN qu'elle abandonne immédiatement tous ses mégaprojets spéculatifs qui se chiffrent en milliers de mégawatts.

On verrait alors se dégonfler la prétendue « bulle » et ceci laisserait peut-être un peu d'air aux tout petits spéculateurs que nous sommes, qui pour notre part travaillons par dixième de mégawatts pour équiper des toitures particulières, industrielles ou encore des champs solaires de taille modeste.

Ca ne serait qu'œuvre de justice !

En effet, comment peut-on expliquer, comment peut-on accepter, les conditions dans lesquelles EDF-EN a accumulé ces projets ?

Comment expliquer que cette entreprise puisse envisager le développement, en terrain agricole, d'un site de 800 ha à Beaucaire : pratique totalement interdite aux autres opérateurs. Comment comprendre que cette entreprise puisse monter un projet de plusieurs centaines de mégawatts sur plusieurs milliers d'hectares dans les forêts des Landes, alors que le plafond légal des centrales photovoltaïques est de 12 mégawatts ? Le saucissonnage artificiel de ces parcs n'est-il pas un abus de droit caractérisé que vous devriez sanctionner haut et fort ? Comment accepter que cette entreprise ait pu bénéficier d'énormes terrains militaires, sans qu'aucun appel d'offres n'ait jamais été lancé ?

Comme tolérer que cette entreprise, par ses pratiques monopolistiques, par ses relations consanguines et inavouables avec les services instructeurs d'ERDF et d'EDF-AOA, ait pu à ce point étouffer les autres opérateurs en confisquant à son profit le potentiel du Grenelle ?

Vous ne le tolérerez sûrement pas, et nous sommes confiants dans votre esprit républicain : vous allez combattre cette concurrence déloyale, inéquitable, et libérer la file d'attente de ces projets hautement spéculatifs.

Veuillez agréer, Madame et Monsieur les Ministres, nos respectueuses salutations.

Les salariés et les dirigeants de Ciel et Terre.  »

Dernière minute :

Ariane Vennin, porte parole du collectif «Touche pas à mon panneau solaire» a indiqué qu'elle allait déposer une plainte vendredi auprès de la Commission européenne pour «pratiques anti-concurrentielles» d'EDF.

Selon le collectif, l'entreprise «tient les rênes du marché» et l'Etat encourage ces «conflits d'intérêts». Il y a un premier conflit d'intérêt entre EDF EN et ERDF, la filiale d'EDF en charge du réseau de distribution. D'autre part, EDF Agence obligation d'achat (EDF AOA), une autre filiale d'EDF, achète, au tarif fixé par les pouvoirs publics, l'électricité produite par les panneaux solaires.

Dernier cours : 10 €

Mnémo : BIL

Capitalisation boursière : 171,70 €

http://www.rentabiliweb.org/

Alors que sera très prochainement publié le CA 2010, je vais mettre à jour ma base de données sur Rentabiliweb.

J’attends un CA 2010 compris entre 85 et 90 M € contre 65,2 M € en 2009.

Le RN devrait être compris entre 10 et 11 M € contre 7,5 M € en 2009.

Les bonnes nouvelles s’enchaînent sur cette valeur. La visibilité est importante ce qui justifie la capitalisation égale à 2 fois le CA 2010.

PROGRESSION RECORD DU CHIFFRE D’AFFAIRES AU T3 2010 : +40,1% (23,5M€)

Croissance soutenue et régulière du chiffre d’affaires essentiellement organique sur les 9 premiers mois de l’année : +39,5% (64,5M€)

DEPASSEMENT DES PREVISIONS ANNUELLES 2010

 Bruxelles, le 9 novembre 2010 –

Le Groupe Rentabiliweb (ISIN BE0946620946 ‐‐ Mnemo BIL) publie un chiffre d’affaires au 30 septembre 2010, supérieur au plan de développement et aux estimations du Groupe. En conséquence, le Groupe atteindra largement sa prévision de croissance annuelle de +30%.

« Ces excellents chiffres montrent l’efficacité de notre stratégie opérationnelle et la poursuite de notre développement à un rythme soutenu et même supérieur à nos prévisions. Rentabiliweb vit clairement une nouvelle accélération de sa croissance. J’en suis ravi, cela augure d’un bel avenir pour notre Groupe et nous restons ambitieux mais toujours vigilants. » précise Jean-Baptiste Descroix-Vernier, Président du Groupe Rentabiliweb.

Forte accélération dans les activités B to B

L’activité de prestation de services de monétisation (B to B : monétisation d’audience pour compte de tiers) enregistre une croissance record de +66,5% à 9 368 KEUR sur le troisième trimestre

Le trimestre a été en effet tiré par la montée en puissance de nos sites partenaires en micropaiement qui ont su notamment profiter des nouvelles sources d’audience et du marketing viral propre aux réseaux sociaux.

L’activité a également été portée par le dynamisme confirmé et très soutenu des solutions à la performance et notamment des programmes de fidélisation emails et SMS et les solutions de cashback telles que www.mailorama.fr et www.textorama.fr qui connaissent une progression de +80% sur les neuf premiers mois de l’année et de +40,2% sur le troisième trimestre 2010.

Mailorama confirme ainsi son leadership sur les activités de cash back en France avec de nombreux développements et fonctionnalités additionnels au cours des derniers mois : lancement réussi de Panel & Co, opérations spéciales « C’est du jamais vu », sortie d’une toute nouvelle charte graphique et d’un nouveau circuit de navigation qui affiche, d’après les premiers retours, un recrutement accéléré de cyber-acheteurs actifs. Enfin, le Groupe Rentabiliweb a renforcé ses investissements marketing et publicitaires autour de ce secteur. Ainsi un partenariat a-t-il été conclu avec le Groupe TF1 faisant de Mailorama le sponsor officiel de l’émission Le Juste Prix au cours du mois de novembre.

Les activités de Services Vocaux Interactifs et de SMS+ à destination des médias numériques et traditionnels montent progressivement en régime. A noter, le lancement de services SMS+ auprès du GIE des radios indépendantes et l’attractivité des jeux audiotel et SMS+ à destination de la Presse quotidienne Régionale. Au cours des derniers mois, l’offre s’est considérablement enrichie avec une nouvelle interface de création de jeux SMS+ et l’optimisation des scenarii audiotel permettant à nos partenaires de créer, administrer et gérer leurs opérations de jeux en toute autonomie et de modifier leurs services vocaux de manière instantanée.

Poursuite d’un développement soutenu en B to C

L’activité d’édition de contenus numériques (B to C : monétisation d’audience pour compte propre), portés par les thématiques Rencontre, Féminin Bien-Etre et Jeux familiaux, affiche une croissance sur les neuf premiers mois de l’année de +35,2% à 38 244 KEUR et de +26,8% à 14 088 KEUR pour le troisième trimestre. Le poids relatif du pôle BtoC est resté stable et représente environ 60% de l’activité totale du Groupe en 2010.

La contribution d’Edencast, régie publicitaire à la performance spécialisée dans le référencement payant, intégrée dans les comptes au 1^er juillet 2010, est conforme aux anticipations du Groupe. Retraitée, la croissance organique du pôle Edition B to C affiche une performance de + 29,1% sur les neuf premiers mois de l’année. L’intégration des équipes et la mutualisation des compétences se poursuivent et ont conduit le Groupe à confier aux équipes d’Edencast la monétisation d’une partie des clients jusqu’ici gérés par d’autres filiales d’édition du Groupe afin d’optimiser notamment les investissements promotionnels et publicitaires.

La constitution d’un bouquet global et d’une grille complète de sites de divertissement doublée d’une maîtrise constante des sources de trafic ont favorisé les ventes croisées entre les différentes thématiques du portefeuille. En parallèle, le Groupe a au cours du trimestre renforcé encore ses relations avec ses partenaires et affiliés avec notamment le lancement de nouveaux outils de promotion et de fonctionnalité mobile.

L’ensemble de ces éléments permet au Groupe Rentabiliweb d’envisager les prochains exercices avec sérénité tant au niveau de la croissance de son chiffre d’affaires que de la rentabilité.

En conséquence, et malgré un effet de base défavorable avec un 4^ème trimestre 2009 qui était particulièrement dynamique, le Groupe atteindra largement sa prévision annuelle de croissance de plus de 30%.

A propos de Rentabiliweb

Créé en 2002, le Groupe Rentabiliweb offre aux professionnels et aux webmasters la plus importante plate-forme de services de monétisation de leur trafic avec notamment des solutions de paiement et de micropaiement. Il développe par ailleurs des programmes d’affiliation, offre des solutions de régie publicitaire on-line, des services vocaux interactifs aux médias offline, et possède une expertise reconnue dans les solutions de fidélisation et de Marketing Direct.

Rentabiliweb est également l’un des premiers éditeurs francophones avec un bouquet de services qui couvre l’ensemble du divertissement grand public : services communautaires, jeux familiaux, services grand public et conseils aux Internautes, rencontres et dating, féminin et bien être, humour et divertissement...

Le Groupe, coté sur le compartiment C d'Euronext Bruxelles et Paris compte à ce jour 13 filiales implantées en Europe, au Canada et en Asie et emploie plus de 150 collaborateurs répartis dans le monde. Rentabiliweb a dégagé un chiffre d’affaires 2009 de plus de 65 millions d’euros et 7,5 millions d’euros de résultat net.

Rentabiliweb est aussi une entreprise qui engage sa responsabilité sociale dans les secteurs d’activité qu’elle développe et qui applique rigoureusement les dix principes établis par l’ONU en tant qu’adhérant au Pacte Mondial.

Mnémo : ALS30

Dernier cours : 22 €

Capitalisation boursière : 52,69 M €

http://www.solutions30.com/

Introduction à 2,425 € (ajusté : distributions gratuites d’action 1 pour 1 en juin 2009 et 2010) le 15 déc 2005

Voici une interview du pdg de Solutions 30 dans le site internet « easybourse ».

Il y est question de nouveaux métiers à créer par la société. L’un d’entre eux devrait être « Money 30 » pour l’installation et la maintenance des terminaux points de vente des commerçants.

A la fin de 2010, Solutions 30 a commencé l’installation de boitiers « BluePod » pour le compte de la société Voltalis :

http://www.voltalis.com/

Voltalis prévoit un parc installé de 200 à 300 000 équipements pour l’hiver prochain !

Le CA 2010 a atteint 54,6 M € soit moins que la capitalisation boursière. La marge nette 2010 devrait atteindre 5,6 % et augmenter lors des 2 prochaines années.

Le résultat 2010 est attendu à 3,1 M € soit 1,29 € / action èPER 2010 = 17. C’est très correct pour une société ayant une croissance à 2 chiffres chaque année.

Gianbeppi Fortis

http://www.easybourse.com/bourse/international/interview/2119/gianbeppi-fortis-solutions-30.html

Pouvez-vous présenter votre société en quelques mots ?
Solutions 30 a été créée fin 2003 et s’occupait essentiellement d’aide à l’installation, l’assistance et la formation pour les appareils numériques auprès des ménages. C’était l’époque où le haut débit se déployait un peu partout, et il fallait accompagner de nombreuses personnes dans cette technologie nouvelle, et qui, parfois, ne savaient pas à qui s’adresser. Nous avons en fait comblé les insuffisances des hotlines des grands opérateurs qui limitaient leur assistance à une relation téléphonique. Nos techniciens se déplacent directement sur le terrain. Nous avons d’ailleurs multiplié les partenariats avec de grands acteurs du monde numérique comme HP, Dell, des distributeurs, des SSII ou directement avec les opérateurs. Solutions 30 a donc surfé sur la vague du développement du haut débit, cela s’est traduit sur une hausse très rapide de notre activité. En 2004, nous réalisions 300 000 euros de chiffre d’affaires, 10 millions d’euros deux ans après et 55 millions d’euros l’année dernière.

Quels sont vos relais de croissance ?
Nous avons commencé depuis 2008 à envisager notre activité en dehors de nos frontières en commençant par l’Italie. Nous nous sommes installés en Belgique, Pays Bas et en Allemagne, et nous devrions prochainement nous implanter en Espagne et au Royaume-Uni.

Nous nous sommes également engagés, depuis 2009, sur une stratégie de croissance externe en plusieurs entreprises issues de spin-off de groupes comme Anovo, spécialisé dans les réparations d’équipements électroniques qui nous a cédé une division spécialisée dans les interventions sur site pour le compte de constructeurs, et la division assistance au poste de travail de Capgemini-Sogeti. Ces deux sociétés ont été parfaitement intégrées au sein de notre groupe. Nous avons racheté également une entreprise aux Pays-Bas.

Enfin, nous nous diversifions sur de nouveaux métiers afin d’accompagner les évolutions des technologies numériques. Nous avons ainsi lancé Energie 30 qui se spécialisera dans les nouveaux compteurs d’électricités intelligents d’EDF. Il s’agit d’un marché de 35 millions de compteurs à changer d’ici à 2018. En 2010, Energie 30 été la première des entreprises chargées de changer les compteurs EDF avec 70 000 appareils sur un total de 260 000. L’autre métier que nous avons créé tourne autour de la télévision numérique et est réalisé sous la marque TV30. C’est en quelque sorte, une évolution de notre métier d’installation des box, arrivées sur le marché en 2004. La télévision numérique implique de nombreuses nouveautés qu’il faut appréhender : décodeur numérique, adaptateurs…

Mais le numérique offre encore de nombreuses possibilités, envisagez-vous de nouveaux métiers ?
Nous travaillons effectivement sur des technologies qui évoluent très vite. Et notre marque parapluie Solutions30 nous permet la plus grande réactivité face à ces évolutions. Nous avons ainsi créé PC 30, Energie 30, TV 30… On parle beaucoup de fibre optique. Il y a aujourd’hui 100 000 foyers connectés, et on estime que 10 000 foyers se connectent chaque trimestre. Nous devrions créer de nouveaux métiers prochainement.

Comment s’est portée l’année 2010 ?
Nous avons eu une très bonne année. Le dynamisme de notre activité a été porté par plusieurs intégrations en 2009, et la poursuite du développement de nos 3 métiers. Il y avait deux enjeux pour nous : maintenir notre rythme de croissance et préserver notre niveau de rentabilité opérationnelle entre 8 et 9% du chiffre d’affaires.

Quelles sont vos objectifs pour 2011 ?
Notre objectif est de maintenir une croissance à deux chiffres, poursuivre nos opérations de croissance externe et d’internationalisation au Royaume-Uni et en Espagne notamment. Nous devrons également conforter nos positions sur de nouveaux business comme la fibre optique et les compteurs intelligents auprès d’ERDF mais également auprès d’autres acteurs comme Voltalis. Nous devrons, enfin, être en mesure de présenter des solutions pour les nouvelles technologies comme les smartphones ou les tablettes numériques.

Propos recueillis par Nabil Bourassi

Je suis abonné au magazine mensuel économique « Capital ». Il est pour moi le plus précis et le mieux informé de tous. Pas de bla bla mais du concret avec un droit de réponse ouvert à l’encontre des personnes incriminées dans les dossiers.

Dans le n° de février 2011, p 29, un article édifiant portant le titre : « Energie solaire : ça chauffe pour 2 pontes d’EDF ».

On y apprend que le rapport du moratoire photovoltaïque avait été remis au gouvernement fin juillet alors que le décret public n’a été officialisé que le 3 septembre 2010.

Et c’est au mois d’août que le pdg d’EDF Energies nouvelles a demandé en toute urgence l’autorisation d’augmenter ses capacités de production de près de 1 000 mégawatts !!

Sur les 1 000 demandés, 600  mégawatts ont obtenu, en catimini, la bénédiction d’EDF !

EDF EN encaissera ainsi un pactole de 400 M € de CA pendant 20 ans.

Un rapide calcul  démontre que  le maintien des commandes générées par les PME impliquées dans le  « vrai métier d’intégrateurs / installateurs »  aux  mêmes conditions, auraient maintenu à flot pour deux ans,  au moins 40 entreprises d’installateurs photovoltaïques de la taille moyenne,  confirmé 8 000 emplois directs et généré  2 milliards d’euros de CA. !!!

Il faut également savoir que ce pdg d’EDF EN est actionnaire à 25% de sa société !!

Dans cet article, un autre ponte est cité. C’est un ancien dirigeant d’EDF qui a été appelé pour prendre la présidence d’ERDF et de RTE, les guichets où l’on doit déposer les demandes de projets photovoltaïques !! Ce dirigeant a participé à la création de Blue Watt qui possède des millions de CA photovoltaïques dans les tuyaux !

Que dire du dégoût qu’inspirent le cynisme et l’impunité probable de profiteurs trop bien informés ? …

Les revenus photovoltaïques annuels de ces messieurs (par le biais de leur holdings) excèdera 20 M €. Ces sommes leur seront versées tous les ans par EDF  pendant 20 ans : à méditer !

 Cette fois, la main mise définitive d’EDF sur les ENR est actée. Et ils ne laissent même pas les miettes pour les vrais installateurs…. Les futurs quotas  de 400 MW, annoncés lors des différentes réunions dites du « Moratoire », sont de fait déjà bloqués par ce dossier de 600 M W pour 2011 et 2012 ...  au seul profit d’EDF et de certains de ses dirigeants.

Délit d’initiés, mensonge d’Etat et faute politique grave éclatent  au grand jour, sans parler de la gabegie financière dont on voudrait faire porter le chapeau aux installateurs intégrateurs solaires sérieux ….

Dégoût est surement le mot qui convient le mieux à cette mascarade …