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17 mai 2011 2 17 /05 /mai /2011 11:14

 

Le ML est devenu « une cours de récréation sans surveillant » depuis que l’AMF ait décidé, en 2008, de le retirer de ses prérogatives.

Il n’est donc pas étonnant d’y voir sévir des gens malhonnêtes et sans morale.

Mais la bourse est elle le secteur où il y a le plus d’arnaques ?

Je pense depuis longtemps que quand il est question d’argent, tous les coups sont permis. Et quand on a retiré les gendarmes, alors là c’est idéal !

On peut y sévir …. presqu’en …. toute impunité.

Mais, quand on voit le nombre de transactions qui ont eu lieu lors des derniers mois de la vie boursière de la société, il faut croire qu’il y a toujours des « candidats spéculateurs » pour se faire plumer !!

Dans le cas de Proximania, les aigrefins sont tombés sur Frédéric Dadvisard, le président de l’Association de Défense des Actionnaires de Proximania (ADAP) que je connais bien.

C’est un homme tenace et d’une grande compétence financière et juridique.

Il a de grandes chances d’obtenir réparation pour les actionnaires qu’il représente. Avec Frédéric Dadvisard, « les mauvais acteurs » de Proximania sont « tombés sur un os ».

Je dis « les mauvais acteurs » de Proximania car il n’y a pas que les dirigeants qui soient en cause. Plusieurs acteurs n’ont pas fait ou mal fait leur travail, d’autres en ont profité !!

Voici un article des Echos.fr qui résume bien ce que l’on peut appeler « l’affaire Proximania ».

Curieux aussi de constater les points de croisement entre Proximania et Loyaltouch !!

 

 

17/05 | 07:00 | Claude Barjonet

Proximania : autopsie d'un désastre boursier

 

Proximania cours

Introduite en décembre 2005 sur le marché libre d'Euronext Paris, l'action Proximania a été retirée de la cote le 2 décembre 2010

Ses actionnaires la croyaient flamboyante. L'entreprise n'était en fait qu'une coquille vide.

http://www.lesechos.fr/journal20110517/lec1_l_enquete/0201326180262-proximania-autopsie-d-un-desastre-boursier-164000.php

L'histoire est édifiante. Elle est assez révélatrice des lacunes du marché libre de la Bourse de Paris, et d'une certaine façon de faire de « business »...

Le 4 septembre 2009, un millier d'actionnaires minoritaires de Proximania apprenaient avec stupéfaction que leur entreprise était privée de ses actifs : ce jour-là, en exécution d'un « pacte commissoire », qui permet à un créancier non payé de saisir des actifs du débiteur, le tribunal de commerce de Paris ordonnait en référé de transférer à la société Trimast Holding la propriété de Kertel (téléphonie), Insert (affichage publicitaire) et L-Com (distribution de recharges télécoms mobiles), trois filiales opérationnelles de Proximania.

Du jour au lendemain, cette entreprise, cotée sur le marché libre d'Euronext Paris depuis décembre 2005, devenait donc une coquille vide. Sans qu'il y ait eu le moindre signe annonciateur : le 23 mars 2009, Proximania avait ainsi déclaré viser pour 2009 un chiffre d'affaires « aux environs de 1 milliard d'euros », et l'été suivant, Laurent Troude, le PDG de Proximania (à ne pas confondre avec son homonyme Laurent Troude photographe à « Libération »), avait confirmé dans la presse la candidature de sa filiale Kertel à la quatrième licence de téléphonie mobile.

Démêler l'écheveau

Comment cette entreprise apparemment en pleine forme en est-elle arrivée là ? Président de l'Association de défense des actionnaires de Proximania (Adap) qu'il a créée en janvier 2010, Frédéric Dadvisard tente depuis un an et demi de démêler l'écheveau. Et s'efforce de mettre à jour les curieuses méthodes de gestion de Laurent Troude...

Un dirigeant visiblement persuasif : entre 2007 et 2009, Proximania est parvenu à lever près de 80 millions d'euros, ce qui lui a permis de multiplier les acquisitions dans les télécoms, la publicité et la distribution. La pertinence de sa stratégie a même été saluée à au moins deux reprises par la société de Bourse EuroLand Finance que dirige Marc Fiorentino. Il faut dire que l'activité avait bondi de 9,8 millions d'euros en 2006 à 142 millions en 2007, puis à 343 millions en 2008, et que le cours de l'action avait suivi. Et soudain plus rien !

Frédéric Dadvisard et les minoritaires entraînés dans cette déconfiture (Proximania a été rayé de la cote le 1 er décembre dernier) ne sont pas les seuls à chercher à comprendre. La justice, elle aussi, s'intéresse au dossier : en juillet 2010, Laurent Troude a été mis en examen pour « faux, usage de faux, falsification de documents administratifs et usages de tels documents, escroqueries, abus de biens sociaux, abus de confiance ». Mais aussi « escroquerie en bande organisée » ou encore « présentation de faux bilans commis courant 2008 ». Il a, en outre, été placé sous contrôle judiciaire.

Le « petit prince de la distribution »

L'examen de documents publics permet de reconstituer une - petite -partie du puzzle. Né le 10 août 1964 à Paris 18 e d'après l'extrait d'acte de naissance, mais à d'autres dates ou dans un autre arrondissement parisien si l'on se réfère à certains extraits Kbis, Laurent Troude est un mystère.

On sait de lui qu'il a fait une école de design, qu'il a navigué assez tôt dans l'univers de la publicité, créant ou reprenant diverses sociétés, et qu'il aime vivre sur un grand train, fréquentant notamment les plages de Saint-Barthélemy au large de la Guadeloupe. Son caractère ? « Toujours très calme et courtois, mais n'hésitant pas à embaucher des armées d'avocats quand une affaire tourne mal », témoigne un de ses fournisseurs, qui était tombé sous le charme, avant de devoir engager des procédures contentieuses pour se faire payer. Car les méthodes du personnage sont parfois étranges.

Ainsi, à la tête de la petite société CQFD-L'Agence Opérationnelle, il n'aurait pas déclaré, près de deux ans durant, entre 2003 et 2005, plusieurs salariés auprès de l'Urssaf - à leur insu. Jusqu'au jour où, se doutant de quelque chose, ces derniers alertent l'inspecteur du travail et saisissent le conseil des prud'hommes ainsi que le procureur. A la demande de leur avocat, l'entreprise est placée en liquidation judiciaire en décembre 2005. Et, près de quatre ans plus tard, le 7 septembre 2009, Laurent Troude est condamné par le tribunal de grande instance de Nanterre à une amende pour « exécution d'un travail dissimulé ».

Mais l'intéressé est déjà passé à autre chose : il a créé une nouvelle société, Proxirégie, spécialisée dans la commercialisation de produits dématérialisés (cartes téléphoniques prépayées, billetterie...) et vite renommée Proximania.

Une fois introduite sur le marché libre - un marché non réglementé et peu contrôlé par Euronext Paris, qui n'impose aux sociétés aucune obligation d'information -, la machine à attirer les investisseurs se met en marche. En février 2007, Laurent Troude fait ainsi la couverture du magazine « Entreprendre », qui salue en lui « le petit prince de la distribution ». L'argent afflue, et Proximania enchaîne les acquisitions. La plus importante sera Kertel, qui sera introduite sur le marché libre en janvier 2008 sur la base d'une capitalisation de 211 millions d'euros !

Jusque-là, tout va bien. Mais, en septembre 2008, en pleine crise financière, l'entreprise annonce un accord avec le britannique Payzone pour lui reprendre ses filiales française, italienne et espagnole opérant dans la distribution de recharges de téléphonie. Montant de cet investissement qui va lui permettre de tripler de taille ? 20 millions d'euros, financé par endettement, répond alors Proximania, sans beaucoup plus de précisions.

Ce que les actionnaires ne savent pas à l'époque - ils ne le découvriront qu'un an plus tard, grâce à l'ordonnance du tribunal de commerce -, c'est que les modalités de l'opération sont hallucinantes. Pour financer cette acquisition stratégique, Proximania a en effet emprunté les 20 millions à Goldman Sachs sur dix-huit mois seulement, au taux d'intérêt monstrueux d'Euribor plus une marge de 14 %  ! Laurent Troude a, en outre, accepté la fameuse clause de « pacte commissoire », qui permet au créancier de saisir les actifs de l'entreprise en cas de défaut de paiement. Des actifs, pense-t-on alors, valant au moins cinq fois le montant du prêt.

Pépites décevantes

Pour avoir mis en relation Proximania avec Goldman Sachs, la société de Bourse EuroLand Finance aurait perçu, selon l'Adap, une commission de 730.000 euros TTC. Un chiffre que Marc Fiorentino, président d'EuroLand Finance, a refusé de confirmer aux « Echos ». Puis Goldman Sachs, qui a de son côté perçu une commission de 1,2 million d'euros, cède la créance à Trimast Holding, une société luxembourgeoise appartenant au fonds Fortelus.

En avril 2009, Proximania, qui est pourtant en train d'augmenter son capital de 19 millions d'euros, laisse curieusement un impayé de 221.000 euros à Trimast Holding. Après négociations infructueuses, Trimast s'en remet au tribunal de commerce, obtient en septembre la propriété des trois filiales de Proximania et... découvre une triste réalité : ces filiales ne sont pas les pépites espérées.

Les nouveaux propriétaires lancent des restructurations, enterrent le projet de quatrième licence téléphonique, tandis que leurs commissaires aux comptes tentent de comprendre ce que ces sociétés ont réellement dans le ventre. Cela les conduira notamment à refuser de certifier les comptes 2008 d'Insert et de certifier avec réserves ceux de Kertel.

Et Proximania, dans tout ça ? Devenue une coquille vide, mais toujours existante, l'entreprise doit des explications à ses actionnaires. Or, l'assemblée générale devant valider les comptes de 2008 est plusieurs fois repoussée ; elle ne se tiendra finalement que le 1 er juin 2010 et, se souvient Frédéric Dadvisard, se révélera être « une vaste mascarade ».

Laurent Troude refusera en particulier de répondre à plusieurs questions écrites très documentées.

L'une portait sur le rachat par Proximania de 4 millions d'euros de ses propres actions en avril 2009 - au moment précis où il aurait fallu rembourser une échéance à Trimast pour éviter l'exercice du pacte commissoire.

Une autre question, savoureuse, interpellait Laurent Troude sur « de nombreux voyages en jet privé à caractère manifestement familial » qui auraient été facturés à Proximania. Mais le dirigeant refusa de répondre.

Quant à l'avenir de la société, il annonça aux actionnaires médusés qu'il réfléchissait désormais à faire de Proximania un acteur des jeux en ligne. Hors France, précisa-t-il.

Achevée à... 1 h 16 du matin après plus de trois heures de débats, l'assemblée générale aura cependant permis aux minoritaires d'apprendre que les commissaires aux comptes avaient refusé de certifier les comptes 2008 de Proximania.

Où en est le dossier aujourd'hui ? Trimast et Proximania se déchirent devant les tribunaux. La justice, on l'a vu, est saisie d'une information à l'encontre de Laurent Troude. De son côté, l'Adap poursuit sa propre enquête, ne désespérant pas de voir, un jour, les minoritaires récupérer une partie de l'argent qu'ils avaient investi. Quant à Laurent Troude, nous ne savons pas ce qu'il est devenu. Certains le disent en Suisse. Son avocat n'a pas répondu à nos questions écrites.

CLAUDE BARJONET

 

Le précédent Loyaltouch

L'histoire de Proximania présente des similitudes avec une autre affaire touchant la place de Paris : la déconfiture de Loyaltouch (ex-Initiatives et Développements). Dirigée par Christian Quérou, cette société spécialisée dans le marketing et la relation client avait été introduite en Bourse en 2006, sur le marché Alternext réservé aux PME. Conseillée notamment par son « listing sponsor » EuroLand Finance, Loyaltouch a pu lever 80 millions d'euros, avant d'être mise en liquidation judiciaire à l'automne dernier, et d'être radiée de la cote.
Désireux d'obtenir réparation après cette faillite que rien ne laissait présager,

220 petits porteurs alliés à cinq fonds d'investissement ont lancé une action en nom collectif contre les commissaires aux comptes, mais aussi Euronext et EuroLand Finance. Les dirigeants de Loyaltouch et Proximania se connaissaient bien : en juillet 2009, le second avait cédé au premier sa filiale Club Dial. Et, trois mois plus tard, Proximania avait revendu à une société détenue par Christian Quérou l'entreprise Proxitec. Une société sans activité, mais cotée sur le compartiment C d'Euronext Paris, ce qui devait lui permettre de lever de nouveaux capitaux en Bourse. Il n'en fut finalement rien.

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16 mai 2011 1 16 /05 /mai /2011 19:00

RISC logo

Mnémo : RSC

Dernier cours : 21,10 €

Capitalisation boursière : 22,77 M €

http://www.risc-group.com/risc-group-corporate/

 

La décroissance du CA n’est pas une surprise puisque la société a volontairement « maigri ».

On a appris que ce n’est pas le CA qui est important mais …. la marge !

Je pense que l’on en saura plus lors de la réunion du 24 mai 2011.

 

CA T3 2010-2011 : 11,4 M€  / -21,8%

Poursuite de la consolidation du Groupe 

Activité du 1er janvier  2011 au 31 mars 2011 (T3 2010/2011)

Risc Group a réalisé sur son troisième trimestre de l’exercice 2010/2011 (de janvier à mars 2011) un chiffre d’affaires de 11,4M€, en retrait de 21,8% par rapport au trimestre de janvier à mars 2010.

Il faut rappeler que le groupe a subi une restructuration importante de janvier à juin 2010, et que, de fait, les deux trimestres ne sont pas directement comparables, les effectifs commerciaux ayant été réduits de plus de moitié entre les deux périodes.

De plus, dans le cadre ce cette restructuration, Risc Group a cédé fin décembre 2010 quatre de ses filiales étrangères à son actionnaire de référence STS Group (Belgique, Espagne, Italie et Suisse). Les chiffres du T3 09/10 ont en conséquence été retraités afin de pouvoir afficher des périmètres comparables (voir « * »  ligne INBOX International dans  le tableau ci-dessous).

en millions d'euros

T3

T3

Variation

9 mois 09/10

9 mois

Variation

09-oct

10-nov

T3

 10/11

 9 mois

 

 

 

 

 

 

 

France

5,6

4,2

-25,10%

15,4

11,4

-26,00%

International *

0,3 *

0,3

10,60%

6,9

5,6

-18,60%

Pôle Inbox

5,9

4,5

-23,40%

22,3

17,1

-23,70%

 

 

 

 

 

 

 

France

8,1

6,6

-17,80%

23,6

21,3

-9,70%

International

0,7

0,3

-55,30%

1,7

0,9

-43,80%

Pôle IT Solutions

8,7

6,9

-20,70%

25,2

22,2

-12,00%

 

 

 

 

 

 

 

Total

14,6

11,4

-21,80%

47,6

39,3

-17,50%

 

Notes :

1) Ces chiffres tiennent compte sur chaque période concernée des ajustements liés à  l’application des normes IFRS.

2) Pour mémoire :

- Le pôle Inbox regroupe les ventes aux TPE (moins de 100 postes informatiques) et développe son activité en France et à l’international ;

- Le pôle IT Solutions regroupe les ventes aux PME (plus de 100 postes informatiques) développées par Risc Group IT Solutions et Backup Avenue en France.

            3) Ces chiffres sont non audités.

Commentaires sur l’activité :

En cumulé sur 9 mois, le chiffre d’affaire recule de -17,5%, alors que les charges d’exploitation ont diminué de plus de 30%. La décroissance de -21,8% de l’activité sur le troisième trimestre de l’exercice en cours par rapport au trimestre comparable de l’exercice précédent s’apprécie différemment sur les deux pôles du groupe.

Inbox

France

Le pôle Inbox en France affiche une décroissance faciale de -25% avec des effectifs réduits de près de 50% par rapport sur T1 2010, notamment au niveau du commerce. Il est également important de préciser que l’activité de ce 3eme trimestre en France est comparable à celle du 2eme trimestre, ce qui traduit une bonne tendance post restructuration. Ce troisième trimestre a également été marqué par le démarrage prometteur des ventes de la nouvelle offre « confidence services », qui réunit les logiciels de STS et de Risc Group. Le lancement de cette nouvelle offre devrait porter pleinement ses fruits dès le dernier trimestre de l’exercice en cours.

 International

Risc Belgique, Risc Espagne, Risc Italie et Risc Suisse ont été cédées à DEAL IT et IPSCA Espagne (filiales de STS Group) le 22 décembre 2010. Les quatre filiales en question ne font donc plus partie du périmètre de Risc depuis cette date. L’international est uniquement concentré sur la filiale allemande qui maintient une activité de gestion de son parc de clients historiques.

IT Solutions

France

L’activité de Risc Group IT Solutions et de Backup Avenue sur le trimestre s’affiche à -17,8 %. Deux raisons principales à cette variation supérieure à celle constatée sur les 9 mois cumulés (-9,7%) : sur Backup Avenue on constate une baisse de chiffre d’affaires liée à la non reconduction (déjà annoncée) d’un client important présent sur le T3 2009/2010 alors que Risc Group IT Solutions subit également la non reconduction en 2011 de contrats dénoncés en 2010. Il faut souligner ici que la nouvelle offre produit de confiance numérique adossée à l’offre historique d’hébergement rencontre un franc succès et va engendrer un rebond des ventes sur les prochains mois.

International

Comme pour le 2e trimestre de l’exercice en cours, la baisse de l’activité à l’international (Risc Group IT Solutions UK) est liée à la décision d’arrêter l’activité de négoce lancée en 2009 afin de concentrer la société sur son activité historique de sauvegarde des données en ligne, qui affiche une croissance certes moindre mais une rentabilité récurrente.

A cette occasion, Bernard Calvignac, Président directeur général de Risc Group, déclare :

« Ce trimestre est une étape de consolidation de la nouvelle configuration du groupe Risc.

L’activité INBOX va conforter son nouveau rythme de croisière  en France avec l’appui des nouveaux produits testés avec succès ce trimestre.

De son côté, Risc Group IT Solutions touche actuellement son « point bas » au niveau des ventes et va rebondir dès le dernier trimestre de l’exercice 2010/2011 : la société a gagné de gros contrats représentant 1 million d’euros par an de facturation dont l’information sera publiée sous quelques jours. Le retour de cette dynamique commerciale va conforter la reprise du pôle.

Nous allons achever cet exercice 2010/2011 avec un groupe à l’équilibre financièrement, bien repositionné et présentant tous les atouts pour entamer une relance raisonnée mais déterminée de l’activité en 2011/2012. »

Le rapport sur l’information financière trimestrielle du 1er janvier au 31 mars 2011 est disponible en ligne sur le site web de la société www.risc-group.com à la rubrique « Finance / Informations réglementées ».

A propos de Risc Group

Risc Group est un acteur majeur européen des services informatiques externalisés.

La société propose à la fois une infrastructure de réseaux interconnectés aux plus grands opérateurs en mode IaaS[1] et une gamme complète de services informatiques managés en mode SaaS[2]. Risc Group apporte ainsi de manière optimale à ses clients des services de : mobilité, sauvegarde, protection des réseaux, vidéosurveillance, infogérance, télécommunications et des applications en mode hébergé. La société dispose d’équipes commerciales et de support de proximité auprès de  ses clients en Europe (TPE, PME, Grands Comptes et Collectivités Locales) dans tous les secteurs d’activités.

Risc Group est organisé autour de trois pôles :

    - Risc Group InBox : le pôle TPE & PME dédié aux sociétés en France et à l’international disposant de 5 à 100 postes informatiques.

    - Risc Group IT Solutions : le pôle Moyennes & Grandes Entreprises en France dédié aux sociétés disposant de plus de 100 postes informatiques (ex Ornis).

    - Backup Avenue : canal de vente indirect de Risc Group.

 Coté sur Euronext Paris (compartiment C), Risc Group est une société anonyme au capital de 21.580.980 €. Le Groupe a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 64,8 M€ sur le dernier exercice fiscal de 12 mois clos le 30 juin 2010, pour un résultat opérationnel courant déficitaire de -7,5 M€. Risc Group emploie à ce jour 296 personnes et dispose de 16 bureaux répartis dans 6 pays (France, Allemagne, Belgique, Espagne, Suisse et Grande-Bretagne).

1 : IaaS : Infrastructure as a Service

2 : SaaS : Software as a Service

 

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16 mai 2011 1 16 /05 /mai /2011 18:27

Auplata logo

Mnémo : ALAUP

Dernier cours : 3,14 €

Capitalisation boursière : 53,40 M €

 

Mnémo : AUPDS

Dernier cours : 0,05 €

 

Mnémo : AUPFRN

Dernier cours : 99 %

http://www.auplata.fr/

 

Voici un article guyanais traitant de l’entreprise locale Auplata avec une belle photo de l’un des sites d’extraction :

http://guyane.la1ere.fr/infos/actualites/auplata-suit-une-courbe-ascendante_52997.html

Effectivement la société semble bien sur une pente ascendante.

On se souvient qu’une AK défiscalisante (ISF et / ou IR) est en cours jusqu’au 24 mai 2011.

18 droits AUPDS permettent de souscrire à 1 action au prix de 2,50 €.

Il est à noter qu’il semble que des investisseurs aient préféré vendre l’action ancienne pour acheter des droits et souscrire à l’action nouvelle.

En effet :

2,50 € + 18x0,05 € = 3,40 €

ce qui est largement supérieur au cours de l’action ancienne. Cet arbitrage est-il du à l’attrait de l’avantage fiscal ? Il est vrai que, cette année, les AK se font rares sans doute à cause du flou gouvernemental au sujet de l’ISF.

La déclaration ISF étant reportée au 15 septembre, je pense qu’il serait logique que l’on puisse souscrire aux AK TEPA jusqu’à cette date. Mais là aussi le gouvernement ne précise rien !!

 

 Paris, le 16/05/2011

Résultats de forages encourageants sur la zone de Couriège

Par arrêté ministériel en juillet 2010, Auplata s’était vu octroyer pour une durée initiale de 5 ans le permis exclusif de recherches (PER) de Couriège, qui s’étend sur une superficie totale de 14 km². Situé sur la commune de Saint-Elie à 120 km à l'ouest de Cayenne, jouxtant le site minier de Dieu Merci, le secteur de Couriège est une zone particulièrement prometteuse qui, à l’image du site de Dieu Merci, a fait l’objet d’une activité minière depuis la fin du XIXème siècle.

La campagne de forages réalisée au cours du 1er trimestre 2011, en continuité des premiers travaux de géologie menés fin 2010, sur les secteurs de Couasse et de Carbet Mitan situés dans la zone du PER, a confirmé l’existence de zones minéralisées en or particulièrement encourageantes. Située à proximité des installations minières de Dieu-Merci, cette zone s’inscrit dans la continuité des zones minéralisées déjà identifiées dans le cadre de la campagne de prospection menée fin 2010 sur les concessions de Dieu Merci.

Ces forages positifs ont ainsi permis de délimiter une zone minéralisée s’étendant sur une superficie de 500 m par 200 m et jusqu’à une profondeur de 30 m maximum. Cette zone minéralisée pourra être confirmée et délimitée plus précisément par un programme de tranchées qui permettra d’avoir une meilleure définition de leurs extensions et d’obtenir du matériel minéralisé pour établir la teneur globale en or.

Les résultats de ces campagnes géologiques permettent à Auplata de déposer, plus rapidement que prévu, une demande de Permis d’Exploitation sur la zone concernée, afin de permettre à terme une exploitation de la zone à partir des installations minières de Dieu Merci.

Auplata en bref

Auplata est le premier producteur d’or de Guyane Française. Née en juillet 2004, la société Auplata exploite deux mines d’or, Dieu Merci et Yaou. Au total, Auplata dispose de plus de 750 km² de permis et titres miniers.

Auplata mène une stratégie industrielle et financière novatrice de mise en valeur des ressources aurifères guyanaises avec une forte implication des acteurs locaux. L'objectif de la société est ainsi de proposer une exploitation durable pour l'industrie minière aurifère guyanaise.

Auplata détient, depuis février 2009, la qualification « entreprise innovante » décernée par OSEO innovation.

Le capital social d’Auplata est composé de 17 032 681 actions. Auplata est coté sur le marché NYSE Alternext à Paris (NYSE Euronext).

Action Auplata : FR0010397760 – ALAUP

Obligation Auplata 03/2015 : FR0010849968 – ALXP

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16 mai 2011 1 16 /05 /mai /2011 17:39

AUREA home logo

Mnémo : AURE

Dernier cours : 9,26 €

Capitalisation boursière : 112,07 M €

http://www.aurea-france.com/

 

TILLOY-LES-MOFFLAINES

Spécialiste du recyclage de pneus, Roll-Gom domine le marché européen

Publié le lundi 09 mai 2011 à 06h00

http://www.nordeclair.fr/Locales/2011/05/09/specialiste-du-recyclage-de-pneus-roll-g.shtml

GAËLLE CARON > gaelle.caron@nordeclair.fr

Grâce à un procédé de recyclage dont elle garde le secret, l'usine Roll-Gom de Tilloy-les-Mofflaines, près d'Arras, est devenue leader européen de la valorisation des pneus usagés.

Deux roues de manutention (équipant conteneurs à déchets, brouettes, nettoyeurs à haute pression) sur quatre en France proviennent de l'usine de Tilloy-les-Mofflaines. Son procédé de recyclage des vieux pneus est tellement à la pointe qu'il n'a pas encore été copié. Résultat : Roll-Gom fait la course en tête devant une poignée de petits concurrents polonais et allemands. Même l'Empire du milieu est largué... « Il n'existe pas beaucoup d'industriels français qui peuvent se vanter de vendre aux Chinois. Ils ont essayé de nous copier. En vain. Comme c'est un micro-marché là-bas, ça leur coûte trop cher », se félicite Joël Picard, Pdg du groupe Aurea, leader européen du recyclage des huiles de moteur, du caoutchouc et du PVC, qui a racheté Roll-Gom en 2006.

Doté des deux broyeurs à chips (tronçons de pneus) les plus modernes d'Europe et conçus en interne, l'usine arrageoise obtient ainsi jusqu'à 7 000 tonnes par jour de granulats de caoutchouc. Grâce à un savant dosage d'additifs, dont seul Roll-Gom détient le secret, cette poudre est ensuite agglomérée et moulée pour donner le produit fini. Au total, chaque année, l'usine recycle 10 % du tonnage de pneus collectés en France et fabrique 14 millions de roues.

En pleine croissance, la filiale d'Aurea, qui a reçu en 2010 le trophée de l'économie responsable, souhaite intervenir encore plus en amont dans son processus de valorisation. « Afin de limiter nos approvisionnements en chips, nous allons investir 2 millions d'euros dans l'acquisition d'un terrain voisin de 30 000 m² et l'installation d'une chaîne de granulation », souligne Richard Lett, le directeur de Roll-Gom, qui devrait donc, à court terme, pouvoir broyer des pneus entiers et plus seulement des tronçons. Mais aussi ajouter « une dizaine d'emplois supplémentaires » à l'effectif actuel de 94 salariés.

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16 mai 2011 1 16 /05 /mai /2011 12:39

Solutions 30 logo

Mnémo : ALS30

Dernier cours : 22,20 €

Capitalisation boursière : 55,19 M €

http://www.solutions30.com/

Introduction à 2,425 € (ajusté : distributions gratuites d’action 1 pour 1 en juin 2009 et 2010) le 15 déc 2005

 

 Paris, le 10 mai 2011

SOLUTIONS 30 s’implante en Espagne et renforce sa présence européenne

SOLUTIONS 30 (ex PC30) leader européen des solutions pour les Nouvelles Technologies, annonce aujourd’hui la poursuite de son plan d’expansion à l’international via l’ouverture d’une filiale en Espagne en date du 30 avril.

Organisé autour d’un réseau de techniciens de proximité, SOLUTIONS 30 est présent en France, Allemagne, Belgique, Italie, Pays-Bas et réalise 14,5% de son chiffre d’affaires à l’international.

L’ouverture de cette nouvelle filiale en Espagne permet au Groupe d’élargir sa présence à un nouveau pays et de poursuivre sa stratégie de déploiement international visant à terme une couverture Européenne complète.

Une implantation sécurisée

La stratégie de développement de SOLUTIONS 30 en Espagne est fondée sur la politique éprouvée du Groupe qui consiste à nouer des partenariats locaux avec les principaux grands comptes lui permettant d’obtenir rapidement un volume d’interventions suffisant pour sécuriser son implantation.

La création de la filiale SOLUTIONS 30 en Espagne fait suite au gain d’un nouveau contrat d’assistance informatique sur 3 ans auprès d’un grand compte.

Gianbeppi FORTIS conclut : « Le marché espagnol, malgré la conjoncture, demeure très actif et se caractérise par une forte demande en assistance informatique et une offre peu structurée. L’ouverture d’une filiale sur place est une réelle satisfaction car elle va nous permettre de profiter de ces opportunités en proposant notre modèle industrialisé unique sur le marché Européen. »

Prochain rendez-vous

Mercredi 18 mai 2011 : 11 heures, assemblée générale des actionnaires

A propos de Solutions 30

Le groupe Solutions30 (ex PC30) est le leader européen des solutions pour les Nouvelles Technologies.

Sa mission est de rendre accessible à tous, particuliers et entreprises, les mutations technologiques qui transforment notre vie quotidienne: hier l’informatique et Internet, aujourd’hui le numérique, demain les technologies qui rendront le monde toujours plus interconnecté en temps réel. Fort de plus de 2,5 millions d’interventions réalisées depuis sa création et organisé autour d’un réseau de techniciens de proximité, Solutions 30 couvre actuellement la totalité du territoire en France, Italie, Pays-Bas, Belgique, Allemagne. Le groupe a récemment ouvert une filiale en Espagne et vise à terme une couverture européenne.

Solutions 30 est une société cotée sur Alternext - ISIN FR0010263335 – code ALS30.

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16 mai 2011 1 16 /05 /mai /2011 10:12

scbsm logo 1

Mnémo : CBSM

Dernier cours : 4,73 €

Capitalisation boursière : 70,93 M €

 

Mnémo : CBSBS (10 BS + 5,80 € = 1 act nouvelle, échéance 30 juin 2014)

Dernier cours : 0,075 €

 

Mnémo : YCBS (intérêt annuel = 0,6 €, échéance 1er juillet 2016)

Dernier cours : 8,57 €

http://www.bois-scieries.com/index2.html

 

La patience finit par payer.

Les foncières sont des sociétés cycliques (1 cycle dure environ 5 ans). En haut de cycle, elles se payent au dessus de leur ANR et bien entendu le contraire en bas de cycle. Actuellement nous sommes en remontée vers le haut de cycle.

On se souvient que l’ANR de SCBSM est de 8,13 € au 31 déc 2010. Il y a donc encore du potentiel d’autant plus que la société est en phase d’amélioration de sa rentabilité et de valorisation de son patrimoine.

 

Location de 1.000 m² de bureaux à La Madeleine

450.000 € de cash flow additionnels

Paris, le 13 mai 2011 –

SCBSM, foncière cotée sur NYSE Euronext à Paris disposant d’un patrimoine immobilier de 269 M€, annonce avoir conclu deux baux de location de bureaux dans son immeuble du quartier d’affaires de La Madeleine (Paris 9).

Les locaux, d’une surface totale d’environ 1.000 m², ont fait l’objet d’une rénovation complète au cours du second semestre 2010 en vue de leur relocation.

En année pleine, ces deux contrats représentent un surplus de revenus locatifs de l’ordre de 450 k€.

Prochain rendez-vous :

Information financière du 3ème trimestre de l’exercice 2010/2011 (janvier - mars 2011)

Lundi 16 mai 2011 (avant bourse)

 

Recevez gratuitement par email toute l’information financière de SCBSM
en vous inscrivant sur
www.actusnews.com

 

A propos de SCBSM :

SCBSM est une foncière cotée sur NYSE Euronext à Paris (FR0006239109 - CBSM) depuis novembre 2006. Le patrimoine immobilier du Groupe, hors projets en développement, s’élève au 31 décembre 2010 à 269 M€, réparti essentiellement entre immobilier commercial (60%), immobilier de bureaux (25%) et mixte bureaux/activités (12%). Le solde du portefeuille est constitué d’actifs d’habitations en cours d’arbitrage.

SCBSM dispose du statut SIIC.

Plus d’informations sur www.scbsm.fr.

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15 mai 2011 7 15 /05 /mai /2011 11:42

Green energy logo

Mnémo : MLGES

Dernier cours : 46,50 €

Capitalisation boursière : 57,59 M €

Introduction le 4 septembre 2009 au prix de 16,28 €

http://www.greenenergy4seasons.be/

 

Mercredi 18 mai aura lieu une AGE à Famenne en Belgique.

3 sujets importants y seront abordés :

- autorisation de passer sur Alternext

- autorisation de réaliser une ou plusieurs AK avec ou sans droit préférentiel de souscription. Une AK TEPA devrait être lancée dans la foulée chez Euroland.

- et surtout autorisation à réaliser une fusion par absorption d’une société française. Il sera intéressant de connaître le nom de cette société française, cotée ou pas ?

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3 mai 2011 2 03 /05 /mai /2011 23:53

Auplata logo

Mnémo : ALAUP

Dernier cours : 3,42 €

Capitalisation boursière : 58,16 M €

Mnémo : AUPFRN

Dernier cours : 101,50 %

http://www.auplata.fr/

Une forte augmentation de la production d’or et une hausse encore plus importante du CA du T1 ceci parce que le prix de l’or a monté depuis 1 an.

Les bonnes nouvelles s’enchaînent sur AUPLATA.

Dans la foulée, une AK avec DPS est lancée. Le prix de souscription, 2,50 €, est un cadeau pour les actionnaires.

Ceux, qui ne veulent pas souscrire, peuvent toujours vendre leurs DPS….  l’équivalent d’un dividende !

L’actionnaire majoritaire a l’intention de souscrire, à titre réductible, aux actions non souscrites par les actionnaires. Les 2,5 M € rentreront donc dans les caisses.

Le cours de l’action a baissé aujourd’hui, certainement à cause de cette AK.

Il en est pratiquement toujours ainsi. Mais je n’ai jamais compris pourquoi une AK faisait peur ? Celui, qui craint d’être dilué, peut toujours souscrire et ainsi il ne le sera pas. Une AK c’est du sang neuf et des munitions pour la croissance. A condition, bien entendu, que l’argent obtenu soit bien utilisé.

 

Paris, le 03/05/2011

Chiffre d’affaires du 1er trimestre 2011 en hausse de 65%

 

1er trimestre

En kg

2011

2010

Variation

Production d'or

73

54

35%

 

 

 

 

En M€

2011

2010

 

Chiffre d'affaires

2,1

1,3

65%

Au 1er trimestre 2011, Auplata, société d’exploitation et d’exploration aurifère basée en Guyane française, a produit 73 kg d’or, en hausse de 35% par rapport aux 54 kg produits au 1er trimestre 2010.

Ce niveau élevé est le résultat des gains de productivité réalisés sur les mines mais aussi de l’allongement de la visibilité sur les filons grâce à la campagne de forages menée sur le site de Dieu Merci.

Le niveau de production du 1er trimestre 2011 est d’autant plus satisfaisant que les travaux de maintenance annuelle des équipements ont été traditionnellement réalisés au cours du mois de janvier, ralentissant sensiblement les activités d’exploitation.

Les ventes d’or du trimestre en forte progression, et la bonne tenue du cours de l’or ont ainsi permis de réaliser un chiffre d’affaires trimestriel de 2,1 M€, en croissance de 65% par rapport à la même période l’an dernier.

À l’issue du 1er trimestre 2011, Auplata confirme son objectif de croissance annuelle de la production d’or en 2011.

 

 

 

Paris, le 03/05/2011

Lancement d’une augmentation de capital de 2,5 M€ avec maintien du droit préférentiel de souscription éligible au dispositif de la loi TEPA

Au cours de sa réunion du 28 avril 2011, le Conseil d’administration d’Auplata a décidé le lancement d’une augmentation de capital dans le cadre de la loi TEPA, d’un montant maximum de 2,5 M€ avec maintien du droit préférentiel de souscription (DPS).

À compter du 5 mai 2011, les actionnaires d’Auplata auront la possibilité de souscrire à cette augmentation de capital réalisée au prix de 2,50 € par action. Cette augmentation de capital satisfait aux conditions du dispositif fiscal de la Loi TEPA. Les souscripteurs pourront, le cas échéant, faire la demande de l’attestation fiscale auprès de la société, qui la leur délivrera jusqu’à atteinte du plafond légal.

Les détenteurs d’actions Auplata vont ainsi se voir attribuer, à compter du 5 mai 2011, 1 droit préférentiel de souscription (DPS) pour chaque action détenue. 18 DPS permettront de souscrire à 1 action nouvelle au prix unitaire de 2,50 €. Les DPS seront cotés et négociés sur NYSE Alternext, sous le code ISIN FR0011043629, du 5 mai au 24 mai 2011 inclus. À l’issue de la période de souscription, les DPS non exercés seront caducs et perdront toute valeur.

Cette augmentation de capital conduira ainsi à la création d’un nombre maximum de 978 974 actions nouvelles, représentant 5,26 % du capital social de d’Auplata, après opération.

A l’occasion du lancement de cette augmentation de capital, Jean-Pierre Gorgé, Président du Conseil d’Administration d’Auplata déclare :

« Quelques jours après la publication de nos comptes 2010, marqués par une très nette amélioration des résultats d’Auplata et la mise en valeur de notre potentiel minier par les normes IFRS, et concomitamment à la parution d’un chiffre d’affaires du 1er trimestre en très forte hausse (+ 65 %), nous avons souhaité récompenser nos actionnaires en leur permettant de souscrire à une augmentation de capital à des conditions particulièrement avantageuses et pouvant éventuellement leur permettre de bénéficier des avantages fiscaux liés à la souscription au capital d’Auplata, PME cotée sur un marché non réglementé. Cette levée de fonds permettra à Auplata de poursuivre ses investissements sur l’exercice».

Il est précisé que cette augmentation de capital se fera dans le cadre des dispositions des articles 211-1 à 211-3 du livre II du Règlement Général de l’Autorité des marchés financiers hors du champ de l’offre au public d’instruments financiers, il n’y aura donc pas de document d’information ayant reçu le visa de l‘AMF.

Ce communiqué, et les informations qu’il contient, ne constituent pas une sollicitation d’un ordre d’achat ou de souscription de valeurs mobilières en France ou dans d’autres pays que la France.

Principales caractéristiques de l’augmentation de capital

Conditions de l’émission

Émission avec maintien du droit préférentiel de souscription (DPS), à raison d’une action nouvelle pour 18 actions existantes de la société, de 978 974 actions nouvelles

Prix de souscription

Actions émises au prix unitaire de 2,50 euros

Calendrier

Détachement des DPS et ouverture de la période de souscription : 5 mai 2011

Clôture de la période de souscription : 24 mai 2011

Cotation du Droit préférentiel de souscription (DPS)

Les droits préférentiels de souscriptions seront cotés et négociables pendant toute la durée de l’offre, du 5 mai au 24 mai inclus, sur NYSE Alternext sous le code ISIN FR0011043629

Intentions des principaux actionnaires

Pelican Venture premier actionnaire de la société, a fait part de son intention de souscrire au minimum à hauteur de la totalité de ses droits, augmenté d’un montant de 2 M€ à titre réductible assurant ainsi la réalisation de l’opération.

Cotation des actions nouvelles

Les actions nouvelles issues de l’augmentation de capital feront l’objet d’une demande d’admission aux négociations sur NYSE Alternext. Elles seront admises sur la même ligne de cotation que les actions anciennes et leur seront entièrement assimilées dès leur admission aux négociations. L’admission aux négociations sur NYSE Alternext est prévue le 9 juin 2011.

Garantie

L’offre ne fera pas l’objet d’une garantie de bonne fin. Le début des négociations sur le titre n’interviendra donc qu’à l’issue des opérations de règlement livraison et après délivrance du certificat du dépositaire.

La société rappelle qu’il appartient à chaque souscripteur de vérifier que les modalités d’application de la Loi TEPA s’appliquent à sa situation personnelle.

Auplata en bref

Auplata est le premier producteur d’or de Guyane Française. Née en juillet 2004, la société Auplata exploite deux mines d’or, Dieu Merci et Yaou. Au total, Auplata dispose de plus de 750 km² de permis et titres miniers.

Auplata mène une stratégie industrielle et financière novatrice de mise en valeur des ressources aurifères guyanaises avec une forte implication des acteurs locaux. L'objectif de la société est ainsi de proposer une exploitation durable pour l'industrie minière aurifère guyanaise.

Auplata détient, depuis février 2009, la qualification « entreprise innovante » décernée par OSEO innovation.

Le capital social d’Auplata est composé de 17 621 525 actions. Auplata est coté sur le marché NYSE Alternext à Paris (NYSE Euronext).

Action Auplata : FR0010397760 – ALAUP

Obligation Auplata 03/2015 : FR0010849968 – ALXP

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3 mai 2011 2 03 /05 /mai /2011 10:33

ADC logo jpeg

Mnémo : ALDV

Dernier cours : 0,26 €

Capitalisation boursière : 25,76 M €

Mnémo : DVBS1

Dernier cours : 0,03 €

http://www.adcsiic.eu/

 

Comme pour Acanthe, un gros dividende sera proposé aux actionnaires. Là aussi il résulte de la vente d’actifs. Et comme la société possède le régime SIIC, elle doit distribuer 85 % des plus values aux actionnaires.

Mais cette distribution (environ 11 M €) est une part de l’actif.

Cela aura une incidence sur l’ANR mais aussi sur le calcul de parité du BS : DVBS1. Il y a une forte demande de ce BS dans le carnet d’ordres.

Après distribution l’ANR dilué devrait se situer aux alentours de 0,32 €.

 

Communiqué : A Paris, le 29 Avril 2011

Patrimoine

55 Millions d’euros

Résultat net consolidé

- 1 938 K€

Résultat net global

- 758 K€

ANR non dilué

0,5660€ / Action

ANR dilué

0,4348 € / Action

Dividende

0,11 € / Action

Faits Marquants

èUn patrimoine immobilier évalué à 55 Millions d’euros hors droits selon les expertises réalisées au 31 décembre 2010

 

èUn patrimoine situé sur Paris et Levallois (92)

 

èL’acquisition d’une participation de 20 % dans un groupe immobilier Suisse propriétaire d’immeubles résidentiels à Genève dont la valeur du patrimoine est expertisée à 207 Millions CHF. Cette participation a été mise en équivalence

                 

Résultats

Sur l’année, le chiffre d’affaires s’établit à 495 K€, contre 2 114 K€ en 2009.

La baisse s’explique essentiellement par la prise en compte d’un arrêt de la Cour d’Appel du 23 Février 2011 qui a fixé l’indemnité d’occupation du locataire de l’Hôtel sis rue du Faubourg St Honoré, NRF, avec qui nous étions en litige, à 594K€ HT/HC/an (valeur 01/07/05 réindexable). Cet arrêt a conduit à comptabiliser des avoirs à établir sur la période du 1er juillet 2005 au 31 décembre 2010 pour un montant total de 888 K€ HT.

Outre l’impact des avoirs à établir, la baisse s’explique également par l’apport fait en 2009 de l’immeuble sis Rue de Surène (Paris 8éme) à la société VENUS. Cette opération génère en 2010 une diminution de chiffre d’affaires de 584K€ par rapport à l’année 2009.

En contrepartie de l’apport de cet immeuble et de l’emprunt dédié, ADC SIIC a reçu en rémunération 1.672 parts sociales valorisées à 2 318 K€ au 31/12/2010 de la société VENUS (soit 1,07 %). qui détient de nombreux actifs immobiliers et qui est désormais contrôlée par la société ACANTHE DEVELOPPEMENT.

Le groupe a également acquis une participation de 20 % dans le groupe immobilier Suisse DUAL HOLDING, dont l’actif est composé d’immeubles résidentiels essentiellement sis à Genève et sa proche région pour une surface totale avoisinant les 46 000 m² et évalués à dire d’experts (par le Cabinet Wüest & Partner) à 207 Millions de CHF. Ces immeubles génèrent des loyers annuels d’environ 12,5 Millions de CHF.

Ces titres ont été mis en équivalence dans les comptes consolidés d’ADC SIIC. Leur acquisition a généré un produit (écart d’acquisition négatif) de 886 K€ comptabilisé en résultat et un écart de change positif de 1 168 K€ comptabilisé directement en capitaux propres.

Patrimoine

Au 31 décembre 2010, le patrimoine de votre Groupe est composé des murs d’un hôtel 4 étoiles de 5.114 m² (4.088 m² d’hôtel + 1.026 m² de commerces associés) et de 3.285 m² de locaux résidentiels pour une surface totale de 8.399 m².

Le patrimoine du groupe est situé pour 67% dans Paris et 33% à Levallois-Perret (92).

Les expertises ont été réalisées par deux cabinets d’experts immobiliers indépendants : le cabinet Colomer-Briens et Associés, spécialiste de la propriété commerciale (pour l’hôtel sis Rue du Fbg St Honoré) et la société CB Richard Ellis Valuation (pour les autres biens).

Dividendes 2010

Le dividende d’un montant exceptionnel versé en 2011 résulte de l’opération d’apport réalisée au cours de l’exercice 2010 qui a généré des plus values d’apport qui sont assimilées dans le cadre du régime SIIC à des plus values de ventes avec une contre partie monétaire.

En application, du régime SIIC, une redistribution de ces plus values doit être effectuée aux actionnaires.

Cette distribution générera une réduction de l’actif net par action.

Le groupe proposera à l’Assemblée générale, en application de ses obligations liées au statut SIIC, de fixer un dividende 0.11€ par action (soit un montant total de 10 900 280,60 €) qui pourra être converti en actions, au choix des actionnaires.

Actif net Réévalué Calcul de l’A.N.R. (en K€)

31/12/2010

Situation nette consolidée

31.184

VNC des immeubles

-30.720

Valeur d’expertise des immeubles

55.130

VNC des immeubles de la société mise en équivalence

-32.743

Valeur d’expertise des immeubles de la société mise en équivalence

33 240

Situation nette réévaluée

56.091

nombre d'actions

99.093.460

ANR par action

0,57 €

Si l’intégralité des 66.719.733 BSA à échéance de décembre 2014 restant en circulation étaient exercés, les capitaux propres augmenteraient de 16.013 K€ et le nombre d’actions serait de 165.816.193 : l’ANR par action serait alors de 0,4348 €.

Les comptes au 31 décembre 2010 ont été arrêtés par le Conseil d’Administration le 29 avril 2011

Conformément à la recommandation de l’Autorité des Marchés Financiers du 5 Février 2010 ; il est précisé que les procédures d’audit ont été effectuées et que le rapport de certification est en cours d’émission.

A propos d’ADC :

Alliance Développement Capital SIIC, foncière cotée au compartiment C d’Euronext Paris. La société est présidée par Monsieur Alain Duménil et le Directeur Général est Mr Richard Lonsdale –Hands

Code ISIN : 0000065401

 

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2 mai 2011 1 02 /05 /mai /2011 19:57

AUREA home logo

Mnémo : AURE

Dernier cours : 8,80 €

Capitalisation boursière : 106,50 M €

http://www.aurea-france.com/

 

Nous avons appris à nous méfier des croissances de CA sans que la marge soit au rendez vous.

Mais lors de la réunion du 27 avril, le pdg s’est montré confiant pour l’année 2011 alors que chaque division de la société était déjà dans le vert au S2 2010.

Qu’en est-il de la rentabilité de BOLTON LEGO en ce début d’année ?

Les acquisitions sont souvent porteuses de grands espoirs mais il faut attendre quelques mois avant qu’elles ne puissent contribuer au résultat du groupe. Il y a des synergies entre BOLTON LEGO et les autres sociétés du groupe, cela nous a été confirmé par la directrice générale de cette dernière acquisition …. Son CA 2010 était de 35 M €.

 

Poursuite de la croissance des activités

CA consolidé du 1er trimestre 2011 en hausse de 78,4%

 

CA consolidé en K €

2011

2010

variation

T1

46 446

26 028

78,40%

T2

 

34 251

 

T3

 

25 518

 

T4

 

31 827

 

Total annuel

 

117 624

 

Le chiffre d'affaires du 1er trimestre 2011 s'élève à 46,4 M€, en hausse de 78,4% par rapport à l’an dernier.

Cette augmentation provient pour une part de la contribution de la nouvelle filiale M LEGO consolidée depuis le 1er janvier et pour une autre part de l’activité soutenue des différents pôles du groupe :

èLe pôle métaux a connu une forte activité, tant commerciale qu’industrielle,

èLa régénération des huiles est sur un marché très demandeur, bien que la limitation de la disponibilité des huiles usagées freine la production,

èL'activité PVC s’est sortie des difficultés rencontrées depuis deux ans,

èLe secteur des plastiques complexes continue de se développer,

èLe recyclage de pneus continue de fonctionner à pleine capacité.

A propos d’AUREA :

AUREA est un pôle de regroupement de PME spécialisées dans le développement durable. Le groupe est notamment n°1 en Europe de la régénération des huiles noires moteur, n°1 en Europe pour la fabrication de roues à bandages à partir de pneus usagés, n°1 en Europe dans le recyclage du PVC rigide. Il est également recycleur et affineur d'aluminium et de cuivre, ainsi que recycleur de plastiques complexes.

NYSE Euronext Paris Compartiment C - Code ISIN FR 0000039232 - Mnémonique AURE - Indices CAC All-Tradable® et CAC Small®

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  • : FINANCES pour TOUS
  • : Analyses personnelles, en particulier sur les actions des petites sociétés, la fiscalité et les énergies nouvelles
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