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4 août 2010 3 04 /08 /août /2010 08:17

SEBDO logo

 

Suite à mon article du 31 juillet 2010 « SEBDO EnR suite à l’AG du 23 juillet 2010 » Pascal Benveniste, le PdG de Stratégéco Solar,  m’a envoyé un long mel pour me donner son point de vue. Etant donné que Stratégéco Solar a été mise en question lors de l’AG de Sebdo, je lui ai proposé de publier l’essentiel de ce mel sous forme de « droit de réponse ». Voici donc ce qui est fait avec son accord.

Il ne s’agit pas de polémiquer mais d’essayer de comprendre de la part des actionnaires. Cela ne change rien à notre désarroi  et à notre impression de « nous être faits avoir ».

« Actuellement en vacances pour 1 mois, je viens d’apprendre par un coup de fil le résultat de la dernière AG de SEBDO. Je suis fort surpris des idées qui ont circulé et notamment celles relatives à la responsabilité de STRATEGECO SOLAR dans les pertes de SEBDO à hauteur de 1,5M€ (sur un total de 4,8M€).

Je tiens à corriger tout de suite cette fausse vérité afin de clarifier les choses.

Tout d’abord un rappel comptable me semble nécessaire : perte = coût d’achat à un prix supérieur au prix de vente d’un produit ou d’une prestation. Nous n’avons passé aucune commande à SEBDO qui nous a été livrée et que nous avons payé à un prix inférieur au prix de revient de SEBDO. DONC : pertes dues à STRATEGECO = 0

SEBDO n’était pas actionnaire de STRATEGECO : donc aucune moins value sur titres (contrairement à nous qui avons perdu 60K€ sur les actions SEBDO).

Les projets évoqués (Malpart, Vichy Charmeil) n’étaient que des projets pouvant générer de la marge positive ou négative qu’au terme de leur réalisation qui de toute façon n’aurait pu apparaitre que dans les comptes 2010 (à la livraison effectives de ces opérations de promotion immobilière) : DONC aucun impact sur le compte de résultat de 2009 de SEBDO (d’ailleurs, le seul impact de ces projets a été sur les comptes de STRATEGECO car c’est nous qui avons payé les études d’architectes et de résistance du sol, pas SEBDO).

Quand aux éventuelles installations de centrales solaires que SEBDO auraient pu réaliser pour le compte de STRATEGECO, là encore il y a mauvaise compréhension : Nos centrales sont situées essentiellement dans le sud de la France (à l’opposé de SEBDO). Dans le meilleurs des cas, il n’aurait pas installé plus de 3 à 10 centrales situées dans le Nord soit éventuellement 300K€ de CA sur 2009 et 2010 grâce à nous, représentant peut être 30K€ de marge nette pour lui. Sébastien ne sait pas faire la différence entre notre valeur d’investissement en centrale et son CA de pose uniquement.   

Que Sébastien HOREMANS déclare qu’il a appris dans la presse mon souhait de sortir de SEBDO est ridicule. J’ai annoncé ma démission de mon poste d’administrateur de SEBDO dès  septembre 2008. Il n’est donc pas surpris de ma sortie de son capital.

Les raisons de ses pertes sont à chercher ailleurs ….

Si PAP ne commande plus de centrale à SEBDO, c’est parce que l’unique centrale de SEBDO construite pour le compte de PAP en février 2009 s’est arrachée suite à un petit coup de vent….en automne 2009. PAP n’est d’ailleurs plus administrateur de SEBDO. PAP est parti très vite aussi de cette affaire…

Il est inacceptable de nous faire porter le chapeau de ses pertes abyssales 2009.

…. »

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3 août 2010 2 03 /08 /août /2010 18:50

 

On se souvient que le Baltic Dry Index (BDI) est l’indice des prix pour le transport maritime en vrac des matières sèches.

Je vous ai souvent parlé de cet indice, dans la catégorie « Economie Finances », comme un précurseur de l’évolution de la bourse.

Le 15 mars 2010 je vous avais écrit un article « Des signes de reprise ? » avec les courbes comparées du BDI et du CAC 40

Notre ami Alain est encore allé plus loin. Il a dressé un tableau comparatif des variations, par quinzaine, de l’indice CAC 40 et du BDI.

Cela semble stupéfiant et cela corrobore bien cette idée de précurseur de la part du BDI.

La variation du BDI précède ainsi celle du CAC 40 d’environ 2 à 3 mois !!

corrélation BDI CAC40

Si l’on en croit ce tableau, le mois d’août devrait être haussier (tout au moins la 1ère quinzaine d’une façon assurée, la seconde quinzaine étant plus incertaine) avant que ne s’amorce une forte baisse ?!

A vérifier donc ….

Je reste persuadé, qu’à l’heure actuelle la volatilité est organisée de façon à laisser le champ libre aux « traders ». Peu importe que cela monte ou que cela baisse, il faut des variations importantes !!

 

 

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3 août 2010 2 03 /08 /août /2010 16:16

Auplata logo

Mnémo : ALAUP

Dernier cours : 3,04 €

Capitalisation boursière : 51,70 M €

Mnémo : AUBSR jusqu’au 3 mars 2011 : (6 BS + 3,66 €) = 1 action nouvelle

Dernier cours : 0,09 €

http://www.auplata.fr/

Voilà la nouvelle qui a fait monter le cours de l’action hier dans la journée.

L’action est très volatile et monte ou descend au rythme des nouvelles. Elle peut donc être jouée en fonction de celles-ci.

En général une nouvelle fait monter violemment le cours qui retombe ensuite jusqu’à la prochaine nouvelle etc ….

D’ici 1 an il devrait y avoir plusieurs nouvelles / communiqués susceptibles de faire monter le cours brutalement.

Mais cette action est très surveillée par les spécialistes. Il faut donc être très réactif. Hier la nouvelle était abondamment commentée dans le forum de Bourso après qu’un forumiste l’ait trouvée dans le Journal officiel.

 

Paris, le 03/08/10

Obtention d’un permis d’exploitation (PEX)

sur le site de Dorlin

Par arrêté paru au Journal Officiel, l’Etat français, par l’intermédiaire du Ministère de l’Ecologie, de l’Energie, du Développement durable et de la Mer, a octroyé à la société SMYD (Société Minière Yaou Dorlin), filiale à 100% du groupe Auplata, un permis d’exploitation (PEX) sur le site de Dorlin d’une durée de 5 ans et d’une superficie de 84 km².

L’arrêté répond à une première demande datant de 2006, réactivée en décembre 2009 par le groupe.

Cette autorisation, qui fait suite aux différents permis obtenus récemment comme le PER (permis exclusif de recherche) de Couriège (cf communiqué du 7 juillet 2010), confirme à nouveau la crédibilité industrielle et financière du groupe Auplata vis à vis des autorités administratives.

« L’obtention de ce PEX récompense le travail intense mené par nos équipes sur le terrain depuis plusieurs mois. Nous nous donnons ainsi la possibilité d’exploiter une surface plus importante en Guyane, conformément à notre stratégie qui vise à valoriser progressivement l’ensemble de nos titres miniers », déclare Jean-Pierre Gorgé, Président du conseil d’administration d’Auplata.

Auplata en bref

Auplata est le premier producteur d’or de Guyane Française. Née en juillet 2004, la société Auplata exploite deux mines d’or, Dieu Merci et Yaou. Au total, Auplata dispose de plus de 750 km² de permis et titres miniers.

Auplata mène une stratégie industrielle et financière novatrice de mise en valeur des ressources aurifères guyanaises avec une forte implication des acteurs locaux. L'objectif de la société est ainsi de proposer une exploitation durable pour l'industrie minière aurifère guyanaise.

Auplata détient, depuis février 2009, la qualification « entreprise innovante » décernée par OSEO innovation.

Auplata est coté sur le marché NYSE Alternext à Paris (NYSE Euronext). Code ISIN : FR0010397760 – code mnémonique : ALAUP.

Le capital d’Auplata est composé de 17 006 938 actions.

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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 17:40

Dietswell logo 1

Mnémo : ALDIE

Cours : 2,50 €

Capitalisation boursière : 11,10 M €

http://www.dietswell.com/

A noter que l’actionnaire historique « Truffle Venture » a souscrit, au printemps de cette année, à une AK réservée au prix de 3 €. Cette société de gestion a habituellement de bons résultats pour ses FCPI.

Paris, le 15 juillet 2010

Chiffre d’affaires du 1er semestre 2010 : 4,3 M€

è1er semestre pénalisé par le retrait du marché du RCR 1200 de janvier à avril

èLes mesures d’adaptation pèseront sur les résultats du 1er semestre

èAmélioration des perspectives dans toutes les activités

Le chiffre d’affaires du 1er semestre 2010 de DIETSWELL, spécialiste indépendant des services puitsforage, s’est établi à 4,26 M€. Il est en baisse de 41% par rapport au chiffre d’affaires du 1er semestre 2009.

Si les activités d’étude et d’audit/expertise d’appareils de forage se sont bien développées, DIETSWELL Engineering a été pénalisée par le retrait du marché durant quatre mois du RCR 1200 et l’activité assistance technique a continué de souffrir, quoique dans de façon atténuée, d’un environnement économique difficile.

Il convient de souligner que les perspectives sont en amélioration dans toutes les activités. Ceci est dû à la reprise très progressive des appels d’offres, mais aussi et surtout à la redéfinition drastique du périmètre de chacune des activités de DIETSWELL, aussi bien en effectifs qu’en objectifs. L’ensemble des mesures prises en ce sens au cours des derniers mois pèsera sur les résultats du 1er semestre.

CA par activité en K €, normes françaises

S1 2010

S1 2009

DOLFINES

821

626

SALVEO

2 769

4 753

DIETSWELL ENGINEERING

327

1 780

FACTORIG

338

77

autres

-

5

Total

4 255

7 242

DOLFINES : fin des travaux sur le contrat SHWE, poursuite sur la Corée

L’activité du bureau d’étude a progressé de 31% au 1er semestre 2010, alimentée notamment par les travaux concernant la seconde phase d’étude sur le projet SHWE (construction en Asie du Sud-Est d’une plateforme-puits reposant par 140 mètres d’eau) pour le compte de DORIS Engineering et de la société sud-coréenne Hyundai Heavy Industries. Ces travaux sont désormais achevés. DOLFINES poursuit son activité sur la Corée.

SALVEO : recul contenu dans un environnement difficile

Le chiffre d’affaires des activités d’assistance technique a été pénalisé par le ralentissement de la demande et une forte pression sur les prix, ainsi qu’en témoigne la baisse de 42% d’un semestre sur l’autre. Toutefois, la qualité du portefeuille clients et la dimension de récurrence des accords cadres pluriannuels ont permis à Salveo, d’amortir les effets de ce contexte difficile, le recul du 1er semestre 2010 sur le second semestre 2009 étant contenu à 16%.

SALVEO est en cours de finalisation de contrats avec de grands opérateurs du secteur pétrolier.

DIETSWELL ENGINEERING : un semestre marqué par le retrait du RCR 1200 pendant quatre mois, mais aussi par la reprise des appels d’offres

L’activité du 1er semestre 2010 de DIETSWELL Engineering a été fortement pénalisée par la période de maintenance sur l’appareil de forage RCR 1200, suite à l’avarie subie en décembre dernier à la suite d’une manipulation inappropriée. L’appareil n’a donc pu être sous contrat au cours du 1er semestre. Il est désormais totalement réhabilité avec des caractéristiques techniques améliorées et l’installation d’un système dédié à la gestion de la sécurité des opérations. Il a par ailleurs reçu une certification de design par Bureau Veritas.

DIETSWELL Engineering a été sollicité dans 7 appels d’offres pour des forages. Le RCR 1200 a été proposé pour deux d’entre eux, l’un en offshore à partir d’une barge auto-élévatrice et l’autre en onshore.

Pour les autres appels d’offres, DIETSWELL se réserve la possibilité de répondre avec son propre rig, des rigs neufs ou en association avec d’autres opérateurs.

Par ailleurs, DIETSWELL a été pré-qualifié par les opérateurs émiratis pour des opérations de revamping de rig ainsi que de construction de barges off shore.

FACTORIG : net redémarrage de l’activité dans une configuration renouvelée

L’activité d’audit et d’expertise d’appareils de forage a enregistré une forte progression de son chiffre d’affaires (338 K€ contre 77 K€ au 1er semestre 2009) avec une reprise des inspections de rigs. Sous l’impulsion d’un nouveau responsable entièrement dédié aux opérations, la configuration de FACTORIG a été restructurée.

Le centre de gravité des opérations a été déplacé vers le Moyen-Orient, afin de tirer parti, notamment, du positionnement stratégique du bureau de DIETSWELL à Abu Dhabi. Des discussions sont en cours avec plusieurs sociétés de premier rang.

Un nouvel instrument HSE de mesure sera mis en activité au cours du second semestre 2010. Il devrait permettre à FACTORIG de prendre des parts de marché, en conséquence notamment de l’accident dans le golfe du Mexique.

A propos de DIETSWELL (www.dietswell.com)

Créé en 2000 par son président actuel, DIETSWELL est un spécialiste indépendant du forage pétrolier et de construction d’appareils de forage. Grâce à des équipes d’experts, une structure flexible et réactive et un accès privilégié à une main-d’œuvre qualifiée, DIETSWELL propose une offre pluridisciplinaire dans les métiers du forage. Respectant les plus hauts standards de qualité et de sécurité, DIETSWELL est labellisé OSEO ANVAR. Il est un des rares groupes du secteur à avoir obtenu les certifications ISO de spécialités. La société est certifiée ISO 14001:2004 depuis avril 2008 (système de management environnemental) sur le périmètre SALVEO et FACTORIG. Disposant d’une implantation internationale, DIETSWELL s’est forgé une réputation de sérieux et de compétence auprès des grandes compagnies pétrolières.

 

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2 août 2010 1 02 /08 /août /2010 16:57

caneo logo joli

« Depuis le début 2010, les fondateurs mènent plusieurs opérations visant à annuler la liquidation de CANEO SA afin de continuer l'activité et sauver les intérêts des actionnaires. Ces actions devraient être bouclées au plus tard en octobre 2010 »

C’est ce que l’on peut lire sur le site internet de Canéo toujours actif

http://www.caneo.eu/crbst_0.html

Cela confirme donc l’article de l’Est Républicain publié sur ce blog le 19 janvier 2010 et les affirmations de l’un des dirigeants que j’ai eu au téléphone au printemps dernier.

Alors espérons, c’est la seule chose que les actionnaires puissent encore faire !

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31 juillet 2010 6 31 /07 /juillet /2010 15:28

SEBDO logo

Mnémo : MLSEB

Dernier cours : 2,26 € suspendu

Capitalisation boursière : 7,34 M €

http://www.sebdo.com/

 

Nous ne sommes que 2 actionnaires à nous être rendu à l’AG de Sebdo EnR le vendredi 23 juillet 2010.

Difficile de trouver cette « rue de l’Ile mystérieuse » où elle avait lieu. Notre GPS, à tous les 2, nous ayant conduit sur une mauvaise route !

Je ferai tout d’abord une observation : sur Boursorama, à l’onglet Société de Sebdo EnR, l’actionnariat qui y figure n’est plus du tout le reflet de la réalité alors que le nom du DG, embauché en novembre 2009, est bien inscrit ? Pourquoi ?

Comme si on voulait nous cacher la vérité : Stratégéco Solar n’a plus aucune action, l’actionnaire majoritaire est Thierry Boutin (Family Office suisse) avec environ 57 % du capital au travers de sa société Emilion Overseas Finance Ltd (voir mon article du 8 mars 2010). Sébastion Horemans, le PdG, n’ayant que quelques % du capital.

TB est quelqu’un de très discret, il s’était fait représenté par SH. Dommage car j’aurais bien aimé le rencontrer. A noter qu’il n’est pas présent au Conseil d’Administration.

Sebdo me fait l’effet de la grenouille qui a voulu devenir aussi grosse que le bœuf (2008) et qui a explosé (début 2009) avant d’être sauvée par TB (septembre 2009).

Une mauvaise histoire qui est devenue un cauchemar pour les actionnaires.

Les résultats 2009

Ils sont catastrophiques !

èCA = 0,62 M € contre 0,46 M € en 2008

èRN = - 4,10 M € contre 0,17 M € en 2008

ècapitaux propres 1,16 M € contre 2,76 M € en 2008

èendettement = 0,44 M € contre 0,26 M € en 2008

La perte réalisée est essentiellement due à des abandons de créances sur les 4 filiales en raison de leurs résultats catastrophiques :

- Sarl Sebdo                        2,20 M €        (résultat avant impôt : - 2 017 571 €)

- Ets Coffiginiez                 0,80 M €        (résultat avant impôt : - 945 578 €)

- Sebdo couverture           0,57 M €        (résultat avant impôt : - 760 952 €)

- Sebdo peinture                0,63 M €        (résultat avant impôt : - 439 206 €)

soit un total de 4,20 M € auquel il faut ajouter 74 302 € de dépréciation, à 100%, des titres de participation sur ces filiales.

Les créances encore détenues sur ces filiales s’élèvent à 0,97 M €.

Le commissaire aux comptes a certifié les comptes 2009 avec une réserve considérant que les créances restantes auraient dues être provisionnées pour un montant de 0,72 M € supplémentaire. La perte de l’exercice aurait alors été de 4,82 M €

On a d’ailleurs appris, à cette occasion, que ce même commissaire aux comptes n’avait pas certifié les comptes 2008 considérant que les comptes présentés étaient trop flous !

Alors pourquoi ce résultat catastrophique des filiales ?

2 raisons sont invoquées :

- la crise du bâtiment è annulation de projets

- l’abandon début 2009 des projets communs avec Stratégéco Promotion (Vichy et  Malpart pour 11 M €, centrales solaires pour 18 M€). Ces projets représentaient donc près de 30 M €. Sebdo s’était dimensionné pour y faire face et avait engagé des investissements. SH affirme avoir appris par la presse que Stratégéco avait décidé l’abandon de ces projets qui étaient de nature à changer la physionomie des 2 sociétés. On ne saura certainement jamais ce qui s’est vraiment passé entre Sébastien Horemans et Pascal Benveniste !

Voici quelques résumés de communiqués triomphants publiés par les 2 sociétés en 2008 :

COMMUNIQUE DE PRESSE  Strategeco

ENEOVIA, plus de 83M€ de chiffre d’affaires sur 2 ans

JOINVILLE-LE-PONT (Val de Marne) le 2 octobre 2008.

Répartition du CA sur 2 ans

Vente de centrales solaires clé en main : 60 M€ Exploitation en propre de centrales solaires : 1,5 M€ par an sur 20 ans. Vente de maisons et appartements bioclimatiques : 20 M€

Une centaine de maisons bioclimatiques aux normes basse consommation énergétique entrant en vigueur en 2012 seront livrées en 2009 et 2010 (éco-lotissements de Malpart et Vichy, immeuble de Vitry sur Seine).

COMMUNIQUE DE PRESSE Strategeco

Nouvelles commandes de 60M:

Des énergéticiens internationaux mandatent ENEOVIA pour construire

15Mw de centrales solaires en France

JOINVILLE-LE-PONT (Val de Marne) le 30 septembre 2008. Le groupe STRATEGECO marque ENEOVIA a été choisi par plusieurs énergéticiens internationaux pour construire des parcs solaires en France. ENEOVIA prend en charge l’ensemble des démarches liées à la réalisation des centrales solaires. Ces projets vont générer 60M€ de chiffre d’affaires pour 2009-2010.

ENEOVIA a doublé sa participation dans SEBDO, introduit en bourse le 19 juin 2008. Ce constructeur de bâtiments bioclimatiques et installateur de systèmes d’énergies renouvelables regroupe 5 sociétés d’installation de systèmes d’énergies renouvelables, d’isolation thermique et de construction de bâtiments bioclimatiques. Le groupe STRATEGECO marque ENEOVIA crée également la filiale ENEOVIA Promotion, détenue à 70% par le groupe STRATEGECO et 30% par SEBDO, pour commercialiser la maison bioclimatique à 100 000€ prête à habiter hors terrain.

COMMUNIQUE DE PRESSE Sebdo

Mailly Raineval, le 29 octobre 2008, 10h00

Construction de nouvelles centrales photovoltaïques en

2008/2009

SEBDO ENR annonce la construction de nouvelles centrales pour le compte de Strategeco Solar.

SEBDO ENR vient d’être sollicité par Strategeco Solar, dans le cadre de leur partenariat commercial, pour assurer l’installation de centrales solaires photovoltaïques entre 2008 et 2009. La prestation de SEBDO couvrira la fourniture et la pose des panneaux solaires, achetés auprès de la centrale d’achat de Strategeco Solar, ainsi que la maintenance des centrales, source de revenus récurrents.

Le chiffre d’affaires global lié à ces constructions devrait représenter 15 à 20 M€ sur une période de 18 mois, soit jusqu’à début 2010, pour une marge nette d’environ 1M€.

COMMUNIQUE DE PRESSE Sebdo

Communiqué Mailly Raineval, le 16 octobre 2008

Construction d’une centrale photovoltaïque de 232 kW

livrable fin 2008

SEBDO ENR annonce la construction d’une centrale photovoltaïque de 1500 m² à Nancy pour le compte de Strategeco Solar.

COMMUNIQUE DE PRESSE Sebdo

Communiqué Mailly Raineval, le 17 septembre 2008

Une nouvelle commande pour la construction

de 84 maisons bioclimatiques à Vichy

SEBDO ENR sera le constructeur des 84 maisons bioclimatiques situées à 5 minutes du centre ville de Vichy, dont le promoteur est Strategeco Promotion (Groupe Strategeco Solar).

COMMUNIQUE DE PRESSE Sebdo

Communiqué Mailly Raineval, le 22 juillet 2008

SEBDO ENR a obtenu le permis de construire pour le 1er lotissement de maisons individuelles bioclimatiques à moins de 100 000 euros

Une première en France : un éco village de maisons individuelles à moins de 100 K€

SEBDO ENR, précurseur dans le monde du bâtiment avec la création en 2007 de la première maison bioclimatique à moins de 100 000 euros, va construire le premier lotissement bioclimatique dans le village de Malpart (Somme).

 

SH considère que l’aventure commune avec Stratégéco Solar lui a fait perdre 1,5 M € !

Le présent et l’avenir

èLes effectifs sont aujourd’hui de 64 personnes contre 80 au 31 décembre 2009. Ils devraient rester stables en quantitatif mais pas forcément en qualitatif

èLa société a été restructurée, ses coûts ont été sévèrement diminués, un DG a été embauché en novembre 2009 et un DAF en février 2010

èle groupe « Prêt à Partir » détient toujours 55 000 actions Sebdo. Le 2 sociétés ne sont pas brouillées mais les projets de construction de centrales photovoltaïques pour PAP ont été abandonnés à cause de la crise

èSebdo devrait déménager son siège en mars 2011

èLe groupe sera simplifié avec seulement 2 filiales :

- Sebdo Energie

-Sebdo construction / rénovation

è plus question, pour l’instant, de distribution de BS aux actionnaires (cela avait pourtant été promis au T4 2009)

èla croissance de la société passe par une obligation : la réalisation d’une AK espérée pour septembre. Cette AK ne peut être que réservée à des Fonds car je ne vois pas les actionnaires actuels y souscrire. Le prix pourrait être voisin de 2,10 €.

- pour restaurer les fondamentaux (Fonds propres)

- pour réaliser de la croissance externe, des contacts avancés ont été pris avec le leader de la Somme de l’énergie (chauffage, électricité) en vue d’une reprise

èl’exploitation devrait être dans le vert pour le mois de juin écoulé après 5 mois dans le rouge. Aucune prévision n’est donnée pour cette année

èla reprise de cotation pourrait se faire en septembre si l’AK se concrétise

Conclusion

SH « s’est certainement fait avoir » par Stratégéco Solar mais que dire des actionnaires qui n’ont pas été informés des abandons de projets et qui ont souscrit, en toute confiance, à l’AK de juin 2009 au prix de 2,80 €.

N’oublions pas non plus le prix de 8,20 € pour l’IPO du 19 juin 2008.

De quoi être écœuré ….

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30 juillet 2010 5 30 /07 /juillet /2010 09:19

RISC logo

Mnémo : RSC

Dernier cours : 0,39 €

Capitalisation boursière : 41,43 M €

 

Mnémo : RSCBS

Dernier cours : 0,124 €

http://www.risc-group.com/risc-group-corporate/

Ce qui compte pour la nouvelle direction (celle de STS Group), ce n’est pas tant le montant du CA mais la marge réalisée.

Le pôle Inbox n’atteindra jamais les 30% visés pour l’ensemble du groupe. Il est donc condamné à maigrir et peut être même à être cédé.

Ce que je trouve remarquable, c’est que seulement 6 mois ont été nécessaires pour remettre RISC Group en état de marche.

Les prochains 6 mois nous donneront une bonne indication sur les véritables capacités de la société.

La prochaine étape devrait être le lancement de l’ORA qui redonnera suffisamment de trésorerie à la société pour se développer.

en millions d'euros

T3

T4

T3

T4

08/09

08/09

09/10

09/10

France

6,8

6,7

5,6

3,2

International

6,3

6,7

4,2

2

Pôle Inbox

13,1

13,4

9,8

5,2

France

7,9

7,6

8,1

8

International

0,5

0,9

0,7

0,5

Pôle IT Solutions

8,4

8,5

8,7

8,5

Total

21,5

21,9

18,6

13,8

 

 

Chiffre d'affaires de l'exercice 2009/2010 : 65,1 MEUR / -22%
Une décroissance des ventes attendue
après un semestre de restructuration

Un groupe en ordre de marche pour 2010/2011


Boulogne-Billancourt, le 29 juillet 2010

1- Activité T4 et des 12 mois cumulés à fin juin 2010

Sur le quatrième trimestre de son exercice 2009/2010, du 1er avril 2010 au 30
juin 2010, Risc Group a réalisé un chiffre d'affaires de 13,8 MEUR en retrait de
-37,2% par rapport au quatrième trimestre de l'exercice précédent.

Le chiffre d'affaires total du groupe pour l'exercice 2009/2010 s'élève à 65,1
MEUR, soit une variation de -22 % par rapport au chiffre d'affaires de
l'exercice 2008/2009.

en millions d'euros

T4

12 mois

T4

12 mois

var

var   12

08/09

08/09

09/10

09/10

T4

mois

France

6,7

27,5

3,2

18,4

-52,5%

-32,9%

International

6,7

23,9

2

12,9

-69,6%

-46,3%

Pôle Inbox

13,4

51,4

5,2

31,3

-61,1%

-39,2%

France

7,6

30,1

8

31,6

5,4%

4,9%

International

0,9

2,1

0,5

2,2

-44,3%

5,2%

Pôle IT Solutions

8,5

32,2

8,5

33,8

0,4%

4,9%

Total

21,9

83,6

13,8

65,1

-37,2%

-22,2%

chiffres non audités

Notes :

1 - Ces chiffres tiennent compte sur chaque période concernée des ajustements liés
à l'application des normes IFRS ;

2 - Pour mémoire :

- Le pôle Inbox regroupe les ventes aux TPE (de 5 à 100 postes informatiques) et
développe son activité en France et en Europe ;

- Le pôle IT Solutions regroupe les ventes aux PME (plus de 100 postes
informatiques) développées par Risc Group IT Solutions (ex Ornis), Backup
Avenue, monDSI en France et Risc Group IT Solutions UK (ex Clunk Click) en
Angleterre.
Cette société britannique était sur l'exercice précédent rattachée au pôle
Inbox.

La diminution du chiffre d'affaires sur le quatrième trimestre est à nouveau
concentrée sur l'activité INBOX, qui a été très largement restructurée depuis le
mois de décembre 2009.

Pôle INBOX

Pour rappel,

1 - Les filiales internationales INBOX ont été restructurées de décembre à 2009 à
février 2010 avec la mise en sommeil de l'Angleterre, de l'Italie et des
réductions drastiques d'effectifs en Allemagne, en Espagne et en Suisse ;

2 - Le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) sur les filiales françaises du groupe a
été négocié du 9 février au 14 avril 2010 et les procédures de licenciements se
termineront fin juillet.

Le PSE a affecté essentiellement l'activité INBOX en France avec notamment la
fermeture d'agences commerciales non rentables en province et la réduction
d'effectifs dans tous les départements de l'entreprise.

Néanmoins, les performances commerciales affichées sur le mois de juin en
France et à l'international laissent augurer une reprise de l'activité sur ce
pôle.

Pôle IT Solutions

Le croissance du pôle IT Solutions reste positive et constante en France,
malgré une activité commerciale qui reste affectée par le contexte économique.

A l'international, la filiale anglaise a arrêté sur le dernier trimestre de
l'exercice son activité
de négoce à valeur ajoutée pour se concentrer sur son
activité historique de backup qui apporte une marge d'exploitation supérieure.

2 - Objectifs et perspectives

Le plan de sauvegarde de l'emploi est terminé au 31 juillet 2010, comme prévu
dans le planning initial et la nouvelle direction, mise en place avec l'arrivée
de STS Group au capital de la société, considère la restructuration du groupe à
présent achevée.

L'objectif est maintenant de redynamiser l'activité sur la base d'une structure
de charges opérationnelles très fortement diminuée.

A cet effet, des actions spécifiques vont être lancées de manière cadencée sur
le pôle INBOX dès le mois de septembre, avec notamment la sortie de nouveaux
dérivés de la gamme de produits de confiance numériques de STS.

Au niveau du pôle IT Solutions, une nouvelle organisation opérationnelle a été
mise en place dans l'objectif d'améliorer sensiblement la qualité du service et
l'offre produits.

A cette occasion, Bernard Calvignac, Président directeur général de Risc Group,
déclare :
« Les six mois de janvier à juin 2010 ont été une période délicate avec la mise en place du PSE et je tiens à saluer les efforts réalisés par toutes les équipes durant ce semestre et souhaiter bonne chance aux salariés qui nous ont quittés.

Dans ce contexte, nous estimons que l'activité commerciale s'est néanmoins
maintenue à un niveau satisfaisant sur ce second semestre. Conjuguée à la
réduction des frais généraux engagée depuis plus de six mois, il en résulte une trésorerie à un bon niveau pour absorber les coûts du plan.

La restructuration du groupe est à présent achevée et nous sommes résolument tournés vers le futur avec comme objectif l'optimisation de toutes les synergies potentielles entre Risc Group et STS Group et elles sont nombreuses.

Nous abordons confiants ce nouvel exercice qui devrait apporter à nos
actionnaires, à nos salariés, à nos partenaires et à nos clients les premiers
fruits de tous les efforts accomplis ces derniers mois. »

Prochain communiqué financier : les comptes au 30 juin 2010 seront publiés au
plus tard le 22 octobre 2010.

A propos de Risc Group

Risc Group est un acteur majeur européen des services informatiques externalisés.
La société propose à la fois une infrastructure de réseaux interconnectés aux plus grands opérateurs en mode IaaS[1] et une gamme complète de services informatiques managés en mode SaaS[2].

Risc Group apporte ainsi de manière optimale à ses clients des services de : mobilité, sauvegarde, protection des réseaux, vidéosurveillance, infogérance, télécommunications et des applications en mode hébergé. La société dispose d’équipes commerciales et de support de proximité auprès de ses clients en Europe (TPE, PME, Grands Comptes et Collectivités Locales) dans tous les secteurs d’activités.
Risc Group est organisé autour de deux pôles et d’un canal de vente indirect :

- Risc Group InBox : le pôle TPE & PME dédié aux sociétés en France et à l’international disposant de 5 à 100 postes informatiques.

- Risc Group IT Solutions : le pôle Moyennes & Grandes Entreprises en France dédié aux sociétés disposant de plus de 100 postes informatiques (ex Ornis et Backup Avenue),

- Risc Group Business Partners : canal de vente indirect en France de Risc Group (ex monDSI).

Coté sur Euronext Paris (compartiment C), Risc Group est une société anonyme au capital de 21.216.764,80 € . Le Groupe a réalisé un chiffre d’affaires consolidé de 86,3 M€ sur le dernier exercice fiscal de 12 mois clos le 30 juin 2009, pour un résultat opérationnel déficitaire de -4,1 M€. Risc Group emploie à ce jour 490 personnes et dispose de 23 bureaux répartis dans 7 pays (France, Allemagne, Belgique, Espagne, Italie, Suisse et Grande-Bretagne).

1 : IaaS : Infrastructure as a Service
2 : SaaS : Software as a Service

 

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29 juillet 2010 4 29 /07 /juillet /2010 17:27

 

Je reproduis ici une chronique de Christian Cachat, président de l’APESI (Association des Producteurs d’Electricité Solaire Indépendants) mais aussi PdG de la société Rewatt dont l’objet est de construire des centrales solaires en Guyane et dont aussi le site internet est toujours en construction depuis 2008 !

Dans cette chronique il y a des « idées vraies » mais on sent aussi beaucoup de lobbying comme il y en a pour le nucléaire ou l’éolien.

Ce sont des sujets vrais qui sont soulevés mais j’aurais préféré une réponse de la part de quelqu’un de neutre.

Pour réussir à entreprendre, il est souhaitable de bénéficier d’un secteur porteur, et le solaire l’est particulièrement, mais il faut aussi avoir des compétences de gestionnaire et savoir bien s’entourer.

Parmi les sociétés du domaine photovoltaïque, que je connaisse, il n’y en a que 3 qui me semblent réunir ces 2 critères : Facilasol, Green Energy et Solabios.

Le cours de la 1ère semble bloqué bien bas. Cela est dû, à mon avis, à 2 raisons :

- le dénigrement organisé, depuis le mois de janvier, dans le forum de Boursorama

- mais aussi et surtout pour la volonté de rester, pour l’instant, sur le ML « non réglementé »

Mais comme le gérant d’un Fonds actionnaire, que j’ai récemment rencontré, je suis très confiant.

Ce n’est pas le cas de Rewatt dont j’ai bien peur de perdre ma mise !

 

 

Paris, le 19 juillet 2010

Pouvoirs publics et photovoltaïque :

une industrie française en perte de repères

http://www.apesi.fr/la%20filiere%20photovoltaIque%20.pdf

Les péripéties tarifaires du début de l’année n’auront finalement pas servi de leçon au gouvernement. Celui-ci s’apprête en effet à refondre pour la deuxième fois en un an le régime de soutien de l’Etat à l’industrie photovoltaïque française. La recette suivie par les pouvoirs publics est finalement assez simple : sur une base de restrictions budgétaires, ajouter une bonne dose d’opacité, un soupçon de précipitation et une pincée de désorganisation. Laisser mijoter pendant que les investisseurs et les porteurs de projets retiennent leur souffle. Le résultat attendu arrive enfin : un secteur complètement désorganisé, le recul des investisseurs et des difficultés financières pour de nombreux acteurs de la filière !

Une politique publique qui déstabilise le secteur

L’agitation des pouvoirs publics fragilise la filière

De tous les pays européens, la France est le seul qui ne parvient pas à clarifier son régime de soutien à la filière photovoltaïque. Que ce soit au niveau des tarifs de rachat ou des crédits d’impôts, rien de ce qui concerne le cadre de développement de l’industrie solaire en France ne paraît stable. Sur fond de crise et dans la période troublée que vit l’économie française, la visibilité et la lisibilité des réglementations est un paramètre déterminant. Il fera la différence entre un développement serein et raisonné de la filière et une profusion de projets constitués à la va-vite dans le but d’échapper aux volte-faces incessantes des autorités publiques. Au-delà des dommages subis par les acteurs privés, c’est l’économie française qui pâtit de ces modifications incessantes. La crédibilité de l’administration française auprès des investisseurs, qu’ils soient français ou étrangers, s’en trouve diminuée. L’exemple de l’industrie photovoltaïque est, du reste, un avertissement à l’égard des investisseurs sur d’autres secteurs industriels réglementés.

Les PME seraient progressivement exclues du jeu

Pour les PME/PMI spécialisées dans le secteur du photovoltaïque, l’enjeu est particulièrement important. N’ayant pas ou peu d’activités secondaires sur lesquelles se reposer pendant les périodes d’incertitude, c’est l’ensemble de leur activité économique qui ralentit et vit dans l’expectative. L’APESI soutient ces entreprises qui développent à une échelle raisonnable des projets sérieux et qui méritent pour cela la reconnaissance et le soutien des pouvoirs publics. Si elles venaient à disparaître, ce secteur hautement concurrentiel se reconcentrerait sur les grands acteurs traditionnels de l’énergie au détriment des consommateurs.

De plus, les objectifs de 5400 MW en 2020 sont encore loin d’être atteints. La réforme tarifaire du 12 janvier dernier et les dispositions transitoires qui lui ont été assorties le 23 mars ont certainement mis un coup de frein aux projets non-aboutis en attente de raccordement. L’assainissement nécessaire de la filière en début d’année ne doit plus porter atteinte aux projets menés aujourd’hui par des professionnels devenus méfiants vis-à-vis des autorités.

« Ces modifications réglementaires interviennent de nouveau dans une période où, précisément, l’industrie solaire photovoltaïque française commence à se repositionner et à former des projets en accord avec les nouvelles tarifications. Ces modifications intempestives sont très dommageables pour les PME qui n’ont pas la possibilité de s’appuyer sur une autre activité durant cette période troublée. Six mois d’attente en 2009-2010 et maintenant trois autres mois avant la clarification définitive des tarifs ; c’est une année très difficile financièrement pour les PME du secteur » confiait Christian Cachat le Président de l’APESI.

VRAI ou FAUX ? Les mythes de l’industrie solaire française

Le Photovoltaïque crée des emplois verts.

VRAI. Il y a quelques mois encore, la filière solaire était considérée comme un secteur d’avenir avec des milliers d’emplois verts à la clé. Le plan de mobilisation pour les métiers de la croissance verte a été initié par Valérie LETARD, secrétaire d’Etat en charge des Technologies vertes et des Négociations sur le climat, dans le cadre du Grenelle de l’environnement. Il vise à mettre à profit l’engouement pour le développement durable en créant des emplois et donne une place de choix à la filière solaire, génératrice de 60 000 emplois à échéance 2020. Depuis, le solaire est décrié comme un facteur aggravant de la dette publique de l’Etat.

Le photovoltaïque participe inutilement à l’augmentation du déficit public.

FAUX. L’investissement public dans une industrie avec des résultats à si court terme doit être encouragé. Déjà, la filière emploie près de 10 000 personnes et ce chiffre ne cesse de croître. En mettant un coup d’arrêt au soutien à la filière solaire et en gelant les investissements, le gouvernement effectue ici un revirement de politique, qui risquerait une fois encore de toucher durement les emplois des PME/PMI et de réduire le développement de l’économie locale liée à ce secteur.

La baisse des coûts de matériel permet de baisser les tarifs de rachat

FAUX. La diminution des tarifs de rachat de l’électricité solaire ferait écho, aux dires de certains, à la baisse du coût des panneaux et des onduleurs sur le marché. Ces arguments ne reflètent pas la réalité du marché car cette baisse ne concerne aujourd’hui que les matériaux importés d’Asie. Or actuellement, les commanditaires publics ainsi que la majorité des clients privés demandent davantage de matériel européen. Sa qualité est largement reconnue au sein de la profession mais ses prix, eux, ont augmenté (jusqu’à 10% sur les onduleurs, 8% sur les panneaux). A noter que, quand bien même la baisse des prix des panneaux correspondrait à une réalité, la baisse des tarifs est bien plus impactante sur l’économie des projets.

Les tarifs de rachats sont les plus élevés au monde

FAUX. Sur le secteur du solaire industriel, le tarif de 42 centimes n’est pas exceptionnel du tout. Les tarifs d’intégré bâti (0,58 €/kWh) concernent aujourd’hui uniquement le secteur des particuliers mais les tarifs du solaire industriel (0,42€/kWh en toiture et 0,31 à 0.37€/kWh au sol) sont tout à fait dans la moyenne européenne : 0,40€ en Bulgarie, 0,48 en République Tchèque et en Italie, 0,45 en Grèce… L’APESI, comme les autres acteurs du secteur, n’est pas opposée à une diminution progressive des tarifs. Les producteurs indépendants sont prêts à prendre part à l’effort de réduction des déficits publics, mais dans un cadre transparent et stable !

 

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29 juillet 2010 4 29 /07 /juillet /2010 16:41

Solutions 30 logo

Mnémo : ALS30

Dernier cours : 22,35 €

Capitalisation boursière : 53,45 M €

http://www.solutions30.com/

Avez-vous déjà visité le nouveau site internet depuis que la société a changé de nom ?

PC 30 est devenue Solutions 30 parce que le champs d’activité de la société s’est beaucoup étendu par rapport au simple dépannage d’ordinateur d’origine.

en M €

2010

2009

2008

2007

CA T1

13,3

9,98

8,91 

5,55 

CA T2

13,4

8,12

8,06 

6,41 

CA T3

 

12,27

8,50 

7,10 

CA T4

 

14,32

10,75 

11,00 

CA annuel

54 à 60 €

44,7

36,22 

30,06

C’est une croissance continue à 2 chiffres et toujours sans augmentation de titres que nous offre cette société.

Sur le cours actuel le PER 2010 devrait se situer autour de 13 (ce n’est pas moi qui le dit ou tel ou tel magazine mais le conseil d’administration). La capitalisation boursière ne représente qu’une année de CA.

Les hebdomadaires « Le Revenu » et « Money Week » étaient à l’achat dans leurs éditions de juillet. Voici ce qu’écrivait Denis Sarget spécialiste des MidCaps à « Money Week » le 19 juillet 2010 :

«  …. La qualité de la logistique de l’entreprise est reconnue, avec une plate-forme informatique sophistiquée et des centres d’appels capables de gérer 300 000 demandes par mois. Cette taille critique permet à la société, par-delà sa clientèle traditionnelle de particuliers et de PME, de pouvoir s’imposer auprès des grands comptes.

Ses ventes présentent une grande visibilité dans cette conjoncture très morose. Les abonnements, plus récurrents, sont bien souvent choisis par les petites entreprises. Solutions 30 a noué des partenariats avec d’importants fournisseurs d’accès à Internet ou des SSII, avec, à la clé, un flux d’activité particulièrement stable et important.

Les perspectives semblent dégagées à long terme. Le marché est porteur. Internet est devenu indispensable et la complexité croissante du matériel informatique nécessite bien souvent l’intervention d’un professionnel. En outre, le groupe entend se diversifier dans d’autres créneaux d’avenir. Avec la fin programmée de la diffusion des signaux de télévision en analogique, une filiale, TV 30, a été créée pour le numérique. Une autre branche de la société, Energy 30, se consacre à la mise en place des compteurs de nouvelle génération, à la suite du beau contrat remporté avec ERDF (Electricité Réseau Distribution France).

D’importants relais de croissance sont attendus en Europe, et Solutions 30 s’est récemment implanté avec succès en Allemagne, au Benelux et en Italie. »

Celui qui aurait investi il y a un peu moins de 5 ans lors de l’introduction aurait multiplié son capital par un peu plus de 9 ! C’est une valeur de croissance pour investisseur et non pas pour trader à court terme.

Le « management et le conseil d’administration » sont de qualité. C’est sans doute ce qui manque à beaucoup de TPE ou PME.

Ce sont avant tout les hommes qui font la réussite d’une entreprise.

 

Communiqué : Paris, le 29 juillet 2010

Chiffre d’affaires du 1er semestre 2010 : croissance soutenue

Au 2ème trimestre 2010, le chiffre d’affaires du groupe SOLUTIONS 30 (ex PC30) a atteint 13,4 M€, portant le chiffre d’affaires du 1er semestre à 26,7 M€, comparé à 17,9 M€ au 1er semestre 2009, ce qui représente une hausse de 49,3% (chiffre non audité).

« Au cours du deuxième trimestre l’activité du groupe a augmenté à un rythme soutenu, supérieur à celui du premier trimestre », précise Gianbeppi Fortis, Président du directoire.

« Cette forte hausse du chiffre d’affaires semestriel est conforme à nos attentes. Elle est essentiellement due aux importantes synergies commerciales mises en place entre l’activité historique de SOLUTIONS 30 et les nouvelles activités rachetées le 1er juillet 2009.En outre le groupe se développe à l’International. Celui-ci représente au premier semestre, 15,8% du chiffre d’affaires du groupe contre 12,8% en 2009

Rappelons que pour la totalité de l’exercice, le groupe s’était engagé sur une croissance -rentable- à deux chiffres.

Prochains rendez-vous:

Mardi 21 septembre 2010 : Résultats du 1er semestre

Jeudi 28 octobre 2010 : Chiffre d’affaires du 3ème trimestre

Jeudi 27 janvier 2011 : Chiffre d’affaires de l’exercice 2010

A propos de SOLUTIONS 30:

SOLUTIONS 30 (ex PC30) est un groupe leader en Europe des services technologiques de proximité.

Sa mission : rendre accessible à tous, particuliers et entreprises, les mutations technologiques qui transforment notre vie quotidienne: hier l’informatique et Internet, aujourd’hui le numérique, demain les technologies qui rendront le monde toujours plus interconnecté en temps réel. Fort de plus de 2 millions d’interventions depuis sa création et organisé autour d’un réseau de techniciens de proximité, SOLUTIONS 30 couvre actuellement la totalité du territoire en France, Italie, Pays-Bas, Belgique, a récemment ouvert une filiale en Allemagne et vise à terme une couverture européenne.

SOLUTIONS 30 est une société cotée sur Alternext - ISIN FR0010263335 – code ALS30.

 

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28 juillet 2010 3 28 /07 /juillet /2010 18:21

AUREA home logo

Mnémo : AURE

Dernier cours : 7,41 €

Capitalisation boursière : 89,68 M €

http://www.aurea-france.com/

Le CA du S1 est presqu’équivalent à celui de l’année 2009 toute entière (64 156 K €).

L’objectif de 120 000 K € devrait donc être atteint.

Ceux des années 2007 et 2008 étaient respectivement de 51 800 K € et de 71 811 K €.

Et pourtant certaines filières d’AUREA sont encore en crise !!

On peut penser que le résultat 2008 de 8,3 M € pourrait être retrouvé ce qui veut dire que la marge serait encore bien inférieure à ce qu’elle était cette année là. Cela nous donnerait alors un BNA de 0,68 € et un PER de 10,9.

Ce n’est pas cher pour une valeur de croissance du marché C.

 

Chiffre d'affaires consolidé du 2ème trimestre 2010

Poursuite d'une forte activité

 

en K € - normes IFRS

2010

2009

variation

T1

26 033

10 638

144,70%

T2

34 246

13 929

145,90%

Total CA consolidé au 30 juin

60 279

24 567

145,40%

Le deuxième trimestre 2010 est marqué par la poursuite d’une forte activité :

èLe pôle aluminium a été dynamique et a accru son efficacité industrielle.

èLa régénération des huiles a subi une hausse du coût de sa ressource due à la faiblesse de la collecte provoquée par la crise. Toutefois, les prix de vente se sont améliorés et l’effet devrait être perceptible sur le reste de l’année.

èLe pôle plastique a fortement rebondi avec le redémarrage des grands travaux, seul le pôle menuiserie étant toujours faible.

èLe traitement des pneus poursuit une activité soutenue.

La société pense que, bien que difficilement prévisible, l’amélioration constatée constitue une bonne base de rebond.

 

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  • : FINANCES pour TOUS
  • : Analyses personnelles, en particulier sur les actions des petites sociétés, la fiscalité et les énergies nouvelles
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  • Je m'intéresse à l'économie, aux entreprises en particulier aux petites, à l'astronautique, aux nouvelles énergies .... En un mot je suis curieux de la vie.

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